The Boeing Company fera appel auprès du GAO (Government Accountability Office) de la décision de l'Armée de l'Air américaine concernant l'attribution du contrat des ravitailleurs à l'équipe constituée par Northrop Grumman et EADS.
« Notre équipe a regardé très attentivement la décision concernant les ravitailleurs et a trouvé des manquements graves dans le processus qui justifient que nous faisions appel», explique Jim McNerney, Président- Directeur général de Boeing. « C'est une initiative exceptionnelle qui n'est pas dans les habitudes de l'entreprise et que nous engageons très sérieusement.»
Suite à l'exposé par l'Armée de l'Air américaine, le 7 mars, des motifs de sa décision, les représentants de Boeing ont examiné la situation pendant trois jours. Une analyse rigoureuse de l'évaluation faite par l'Armée de l'Air américaine et aboutissant à l'attribution du contrat à Northrop/ EADS a conduit Boeing à la conclusion qu'elle devait être contestée.
« En ce fondant sur ce que nous avons vu, nous restons convaincus que notre avion, selon les critères de l'appel d'offre de l'Armée de l'Air, était le plus capable, au moindre risque et au moindre coût probable sur le cycle de vie. » ajoute Jim McNerney. « Nous sommes dans l'attente de l'examen de cette décision par le GAO ».
« Notre équipe a regardé très attentivement la décision concernant les ravitailleurs et a trouvé des manquements graves dans le processus qui justifient que nous faisions appel», explique Jim McNerney, Président- Directeur général de Boeing. « C'est une initiative exceptionnelle qui n'est pas dans les habitudes de l'entreprise et que nous engageons très sérieusement.»
Suite à l'exposé par l'Armée de l'Air américaine, le 7 mars, des motifs de sa décision, les représentants de Boeing ont examiné la situation pendant trois jours. Une analyse rigoureuse de l'évaluation faite par l'Armée de l'Air américaine et aboutissant à l'attribution du contrat à Northrop/ EADS a conduit Boeing à la conclusion qu'elle devait être contestée.
« En ce fondant sur ce que nous avons vu, nous restons convaincus que notre avion, selon les critères de l'appel d'offre de l'Armée de l'Air, était le plus capable, au moindre risque et au moindre coût probable sur le cycle de vie. » ajoute Jim McNerney. « Nous sommes dans l'attente de l'examen de cette décision par le GAO ».