C'est dans des conditions pour le moins inconfortables que s'est déroulé le vol AT721 reliant l'aéroport Lyon St-Exupery à l'aéroport Mohammed V à Casablanca, ce samedi 29 mars 2014.
Le vol devait être effectué sur un avion de Royal Air Maroc, mais pour des raisons inconnues, surtout par les passagers de ce vol dont je faisais partie, c'est l'avion d'une compagnie espagnole Swiftair qui nous attendait.
Première surprise, à l'enregistrement le changement d'avion n'a pas été pris en compte alors que le web checking était hors service. Ce n'est qu'à quelques mètres de la porte de l'avion qu'un Stewart espagnole nous annonce avec un grand sourire qu'on peut prendre le siège qu'on veut tout en prenant le soin de barrer avec son stylo notre carte d'embarquement la rendant inutile.
Le vol devait être effectué sur un avion de Royal Air Maroc, mais pour des raisons inconnues, surtout par les passagers de ce vol dont je faisais partie, c'est l'avion d'une compagnie espagnole Swiftair qui nous attendait.
Première surprise, à l'enregistrement le changement d'avion n'a pas été pris en compte alors que le web checking était hors service. Ce n'est qu'à quelques mètres de la porte de l'avion qu'un Stewart espagnole nous annonce avec un grand sourire qu'on peut prendre le siège qu'on veut tout en prenant le soin de barrer avec son stylo notre carte d'embarquement la rendant inutile.
Chers responsables de la compagnie nationale, en cas de changement prenez la peine d'informer vos clients, pendant l'enregistrement ou de préférence avant, de ce qui les attend .
Deuxième surprise, au lieu d'un Boeing B737-400, à bord duquel nous avons effectué le vol aller AT 720, nous avons eu le "plaisir" de voyager à bord d'un Mcdonnell Douglas MD83 mis en service en Octobre 1980 et dont le dernier model est sorti des chaînes de production en décembre 1999! Peu importe, avec quelques amis, c'est la course vers les sièges à côté des portes de secours pour profiter de l'espace entre sièges et pour tomber sur la troisième surprise.
Troisième surprise, les portes de secours ont déjà servies! Les portes dans un état délabré, ce qui est le cas aussi des sièges, nous ont bercé avec un sifflement qui a duré longtemps pendant le décollage puis à l'atterrissage.
Chers responsables de la compagnie nationale, quand on se paye un billet plein tarif sur un vol régulier c'est qu'on n'est pas intéressé par des vols charters avec un service minimum à bord.
Quatrième surprise, les portes des soutes à bagages se sont mises à s'ouvrir quand les trains d'atterrissage ont touché la piste de l'aéroport Mohammed V. Heureusement, aucun bagage n'est tombé.
Chers responsables de la compagnie nationale, assurez-vous que vos remplaçants disposent d'appareils bien entretenus et à la hauteur de votre renommée.
Deuxième surprise, au lieu d'un Boeing B737-400, à bord duquel nous avons effectué le vol aller AT 720, nous avons eu le "plaisir" de voyager à bord d'un Mcdonnell Douglas MD83 mis en service en Octobre 1980 et dont le dernier model est sorti des chaînes de production en décembre 1999! Peu importe, avec quelques amis, c'est la course vers les sièges à côté des portes de secours pour profiter de l'espace entre sièges et pour tomber sur la troisième surprise.
Troisième surprise, les portes de secours ont déjà servies! Les portes dans un état délabré, ce qui est le cas aussi des sièges, nous ont bercé avec un sifflement qui a duré longtemps pendant le décollage puis à l'atterrissage.
Chers responsables de la compagnie nationale, quand on se paye un billet plein tarif sur un vol régulier c'est qu'on n'est pas intéressé par des vols charters avec un service minimum à bord.
Quatrième surprise, les portes des soutes à bagages se sont mises à s'ouvrir quand les trains d'atterrissage ont touché la piste de l'aéroport Mohammed V. Heureusement, aucun bagage n'est tombé.
Chers responsables de la compagnie nationale, assurez-vous que vos remplaçants disposent d'appareils bien entretenus et à la hauteur de votre renommée.
Cerise sur le gâteau, une passagère sexagénaire décide, exactement au moment de l'atterrissage, de se diriger vers le cockpit puis de rouer de coups le Stewart qui essaye de l'en empêcher. L'incident a obligé tous le PNC de se diriger vers l'avant de l'appareil pour maîtriser l'assaillante. Une bouteille de whisky à moitié vide a été trouvé sur son siège... c'était, peut-être, la meilleur chose à faire pour passer "un agréable voyage à bord de notre compagnie"...
Il est évident que cette compagnie, Swiftair, réponds aux normes de sécurité et que son avion est sûr. Mais, allez expliquer cela à la centaine de passagers, de différents âges, alors qu'ils entendent sifflements et claquements tout au long du trajet, alors qu'ils voient les portes des soutes à bagages s'ouvrir toutes seules et alors qu'ils ne trouvent pas de poulet dans un plat...au poulet.