L'agence de presse Algérienne (APS) annonce à nouveau le lancement des essais du "premier drone supersonique africain" fabriqué en Algérie. La finalisation et les tests seront lancés début octobre prochain à Tafraoui (Sud de la ville d'Oran), a annoncé le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique au ministère de l'Enseignement supérieur et de la recherche scientifique, Hafidh Aourag.
"Le prototype est finalisé. Début octobre, nous lancerons les tests à Tafraoui" dans la wilaya d'Oran, a-t-il déclaré dans un entretien à l'APS.
L'APS a joute que cette opération a été concrétisée à la faveur de la mise en commun des compétences et des savoir-faire des chercheurs algériens, locaux et expatriés.
"Il faut rendre hommage à ces Algériens, l'un a travaillé pour le constructeur aéronautique américain Boeing et l'autre pour l'européen Airbus, qui ont fait aboutir ce projet. En plus, ils ont formé une main d'œuvre algérienne pour assurer la relève", a-t-il indiqué. APS n'a précisé le nom d'aucun des deux.
L'institut d'aéronautique de l'Université de Blida a été choisi à ce titre pour accueillir le site d'implantation de la plateforme de production. Initialement, le projet devait être réalisé dans le cadre de la coopération scientifique avec l'Afrique du Sud. Mais, "pour des raisons stratégiques et de confidentialité le projet a été mené par des compétences algériennes à 100%", a souligné le Pr Aourag.
Ce drone supersonique, a-t-il poursuivi, se distingue par "un grand angle de couverture des zones" et par "les équipements embarqués et qui permettront de donner des informations sur son comportement en service".
"Il s'agit d'une nouvelle technologie. Ces drones ne sont pas, seulement, des appareils de surveillance, mais ils permettront également la collecte d'informations", a encore ajouté le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique.
"Le prototype est finalisé. Début octobre, nous lancerons les tests à Tafraoui" dans la wilaya d'Oran, a-t-il déclaré dans un entretien à l'APS.
L'APS a joute que cette opération a été concrétisée à la faveur de la mise en commun des compétences et des savoir-faire des chercheurs algériens, locaux et expatriés.
"Il faut rendre hommage à ces Algériens, l'un a travaillé pour le constructeur aéronautique américain Boeing et l'autre pour l'européen Airbus, qui ont fait aboutir ce projet. En plus, ils ont formé une main d'œuvre algérienne pour assurer la relève", a-t-il indiqué. APS n'a précisé le nom d'aucun des deux.
L'institut d'aéronautique de l'Université de Blida a été choisi à ce titre pour accueillir le site d'implantation de la plateforme de production. Initialement, le projet devait être réalisé dans le cadre de la coopération scientifique avec l'Afrique du Sud. Mais, "pour des raisons stratégiques et de confidentialité le projet a été mené par des compétences algériennes à 100%", a souligné le Pr Aourag.
Ce drone supersonique, a-t-il poursuivi, se distingue par "un grand angle de couverture des zones" et par "les équipements embarqués et qui permettront de donner des informations sur son comportement en service".
"Il s'agit d'une nouvelle technologie. Ces drones ne sont pas, seulement, des appareils de surveillance, mais ils permettront également la collecte d'informations", a encore ajouté le Directeur général de la recherche scientifique et du développement technologique.