Aeromart, un des principaux rendez-vous de l'industrie aéronautique mondiale, se tiendra à Montréal au printemps 2008.
«C'est une bonne nouvelle qui conforte la position de Montréal comme capitale aéronautique», a dit le ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand en entrevue.
Aeromart n'est pas un salon traditionnel. C'est plutôt une convention d'affaires qui permet aux entreprises du secteur de se rencontrer dans le cadre de rendez-vous ciblés et «préprogrammés» en fonction des besoins des participants.
«Nous sommes le numéro un du "B to B"», résume Stéphane-Pierre Castet,le directeur général de BCI Aerospace, organisateur d'Aeromart.
L'événement se tient en alternance à Pékin et à Toulouse. En avril2008, il se transportera pour la première fois en Amérique du Nord.
«Après 10 ans d'existence, il nous semblait normal de créer une version américaine, a expliqué M. Castet au stand du Québec. Dès lors, Montréal nous est apparu comme un choix naturel et légitime.»
Les raisons qui militaient en faveur de Montréal sont nombreuses:troisième capitale aéronautique mondiale, la région métropolitaine est un des seuls endroits sur la planète où on peut «construire un avion de A à Z».
«On y trouve, a rappelé M. Castet, quatre grands donneurs d'ordre et un vivier de PME et de PMI qui ont besoin de se rencontrer. Pour nous et pour l'ensemble de la communauté aéronautique, c'est un bon moyen de pénétrer le marché nord-américain.»
Avionneurs, motoristes, transporteurs, fabricants et «donneurs d'ordres»: plus de 440 entreprises sont attendues à cette première édition montréalaise. La dernière rencontre toulousaine a accueilli plus de 1200 participants venus de 35 pays. Plus de 11 000 rendez-vouss'y sont tenus.
«Cela s'inscrit dans le travail à long terme qui a été entrepris pourque les PME québécoises s'ouvrent davantage au marché international, a fait remarquer le ministre Bachand. Il ne faut pas qu'elles dépendent seulement de Bombardier. Bombardier aussi souhaite qu'elles aient d 'autres clients.»
À la tête d'une importante délégation (48 entreprises québécoises participent cette année au salon du Bourget), le ministre a profité de son passage pour dresser un bilan «positif» de la «Stratégie de développement de l'industrie aéronautique québécoise», lancée il y a un an au salon de Farnborough.
Le ministre fédéral de ministre de l'Industrie, Maxime Bernier, se trouve également au Bourget pour soutenir les entreprises canadiennes.
«C'est une bonne nouvelle qui conforte la position de Montréal comme capitale aéronautique», a dit le ministre québécois du Développement économique, Raymond Bachand en entrevue.
Aeromart n'est pas un salon traditionnel. C'est plutôt une convention d'affaires qui permet aux entreprises du secteur de se rencontrer dans le cadre de rendez-vous ciblés et «préprogrammés» en fonction des besoins des participants.
«Nous sommes le numéro un du "B to B"», résume Stéphane-Pierre Castet,le directeur général de BCI Aerospace, organisateur d'Aeromart.
L'événement se tient en alternance à Pékin et à Toulouse. En avril2008, il se transportera pour la première fois en Amérique du Nord.
«Après 10 ans d'existence, il nous semblait normal de créer une version américaine, a expliqué M. Castet au stand du Québec. Dès lors, Montréal nous est apparu comme un choix naturel et légitime.»
Les raisons qui militaient en faveur de Montréal sont nombreuses:troisième capitale aéronautique mondiale, la région métropolitaine est un des seuls endroits sur la planète où on peut «construire un avion de A à Z».
«On y trouve, a rappelé M. Castet, quatre grands donneurs d'ordre et un vivier de PME et de PMI qui ont besoin de se rencontrer. Pour nous et pour l'ensemble de la communauté aéronautique, c'est un bon moyen de pénétrer le marché nord-américain.»
Avionneurs, motoristes, transporteurs, fabricants et «donneurs d'ordres»: plus de 440 entreprises sont attendues à cette première édition montréalaise. La dernière rencontre toulousaine a accueilli plus de 1200 participants venus de 35 pays. Plus de 11 000 rendez-vouss'y sont tenus.
«Cela s'inscrit dans le travail à long terme qui a été entrepris pourque les PME québécoises s'ouvrent davantage au marché international, a fait remarquer le ministre Bachand. Il ne faut pas qu'elles dépendent seulement de Bombardier. Bombardier aussi souhaite qu'elles aient d 'autres clients.»
À la tête d'une importante délégation (48 entreprises québécoises participent cette année au salon du Bourget), le ministre a profité de son passage pour dresser un bilan «positif» de la «Stratégie de développement de l'industrie aéronautique québécoise», lancée il y a un an au salon de Farnborough.
Le ministre fédéral de ministre de l'Industrie, Maxime Bernier, se trouve également au Bourget pour soutenir les entreprises canadiennes.