Président du groupement des industries marocaines aéronautiques et spatiales (Gimas) et délégué général de Safran au Maroc, Hamid Benbrahim El-Andaloussi détaille pour L'Usine Nouvelle les enjeux et les perspectives de la filière aéronautique au Maroc.
"Le secteur connaît dans le monde entier une décennie glorieuse. Sur les vingt prochaines années, pas moins de 35 000 avions doivent être construits. Quant au trafic aérien, il va durant cette période être multiplié par quatre. Les avionneurs imposent une hausse des cadences de production très forte. Leurs besoins en capacités de fabrication sont élevés. Nous parvenons à en tirer profit. Dans ce contexte, le Maroc est en mesure de devenir la base arrière de l’Europe et de la France. Nous sommes devenus en quelques années le pays le plus compétitif et le plus proche pour l’industrie aéronautique européenne, prenant ainsi le relais des pays de l’Europe de l’Est ou de l’Irlande."
"Le secteur connaît dans le monde entier une décennie glorieuse. Sur les vingt prochaines années, pas moins de 35 000 avions doivent être construits. Quant au trafic aérien, il va durant cette période être multiplié par quatre. Les avionneurs imposent une hausse des cadences de production très forte. Leurs besoins en capacités de fabrication sont élevés. Nous parvenons à en tirer profit. Dans ce contexte, le Maroc est en mesure de devenir la base arrière de l’Europe et de la France. Nous sommes devenus en quelques années le pays le plus compétitif et le plus proche pour l’industrie aéronautique européenne, prenant ainsi le relais des pays de l’Europe de l’Est ou de l’Irlande."
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"La palette d’activité est déjà large, elle va du câblage aux matériaux composites, en passant par le traitement de surface et la maintenance des moteurs. Aujourd’hui, la filière génère 1 milliard de dollars à l’export, soit 4,5% des exportations totales du pays. En l’espace d’une douzaine d’années, nous sommes passés de 7 à 110 industriels aéronautiques implantés. Le plan d’accélération industrielle 2014 – 2020 vise le doublement de l’activité."
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"La palette d’activité est déjà large, elle va du câblage aux matériaux composites, en passant par le traitement de surface et la maintenance des moteurs. Aujourd’hui, la filière génère 1 milliard de dollars à l’export, soit 4,5% des exportations totales du pays. En l’espace d’une douzaine d’années, nous sommes passés de 7 à 110 industriels aéronautiques implantés. Le plan d’accélération industrielle 2014 – 2020 vise le doublement de l’activité."
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