Le maire UMP de Toulouse Jean-Luc Moudenc a qualifié mardi d'"hypothèse de travail" les informations faisant état d'une réduction de 80% des sous-traitants d'Airbus d'ici à 2010. "Aucune annonce officielle n'a été faite (...) Il faut être prudent", a-t-il déclaré à la presse, précisant s'être entretenu lundi soir avec des responsables de la société aéronautique. "Ils m'ont dit qu'il y avait des hypothèses de travail élaborées depuis plusieurs semaines mais qu'il n'y avait pas de décisions prises à ce sujet. je ne peux pas commenter des hypothèses de travail, même si ce sont les plus pessimistes. Je m'en tiens aux décisions lorsqu'elles sont prises et aujourd'hui je constate qu'il n'y a pas de décisions prises", a-t-il indiqué.
80% de sous-traitants en moins, "c'est une hypothèse qui a été très sérieusement exposée il y a plusieurs semaines à Airbus, qui transparait aujourd'hui dans la presse et le public, mais qui n'est pas validée par une décision", a-t-il poursuivi. "Il est encore trop tôt en l'état actuel des décisions, qui sont loin d'être achevées, pour mesurer" l'impact sur la sous-traitance des décisions qui seront annoncées par Airbus, a-t-il ajouté. "Le contexte d'économie chez Airbus n'empêche pas une perspective de développement.
C'est quelque chose d'encourageant, porteur d'emploi (...) Ce que je retiens comme décision officielle qui est en train de se prendre aujourd'hui, c'est la décision de lancer l'A350", a-t-il ajouté. Le programme de l'avion long-courrier A350 doit être examiné mardi à Amsterdam par le conseil d'administration du groupe européen d'aéronautique et de défense EADS, qui doit également valider les comptes avant la publication des résultats trimestriels d'EADS mercredi.
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80% de sous-traitants en moins, "c'est une hypothèse qui a été très sérieusement exposée il y a plusieurs semaines à Airbus, qui transparait aujourd'hui dans la presse et le public, mais qui n'est pas validée par une décision", a-t-il poursuivi. "Il est encore trop tôt en l'état actuel des décisions, qui sont loin d'être achevées, pour mesurer" l'impact sur la sous-traitance des décisions qui seront annoncées par Airbus, a-t-il ajouté. "Le contexte d'économie chez Airbus n'empêche pas une perspective de développement.
C'est quelque chose d'encourageant, porteur d'emploi (...) Ce que je retiens comme décision officielle qui est en train de se prendre aujourd'hui, c'est la décision de lancer l'A350", a-t-il ajouté. Le programme de l'avion long-courrier A350 doit être examiné mardi à Amsterdam par le conseil d'administration du groupe européen d'aéronautique et de défense EADS, qui doit également valider les comptes avant la publication des résultats trimestriels d'EADS mercredi.
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