Le géant canadien "Bombardier" a annoncé, jeudi, la nomination d'Alain Bellemare au poste de président-directeur général de la multinationale, en remplacement de Pierre Beaudoin, devenu président exécutif du conseil d'administration.
Dans un communiqué, Bombardier a indiqué que Pierre Beaudoin succédera à son père, Laurent Beaudoin, qui quitte ses fonctions de président du conseil d'administration après plus de 50 ans passée à la tête de l'entreprise, soulignant, toutefois, qu'il restera au conseil avec le titre honorifique de président émérite .
Alain Bellemare, le nouveau patron de Bombardier, est un ancien dirigeant au sein du groupe industriel américain "United Technologies Corp" (UTC) où il a passé 18 ans, notamment chez la filiale du groupe "Pratt & Whitney", le constructeur américain de moteurs d'avions. Ces changements à la tête de Bombardier interviennent alors que la firme canadienne a vécu des périodes difficiles au cours de la dernière année, avec ses faibles ventes de sa nouvelle famille d'avions "CSeries", ses réductions importantes de personnel et la chute de la valeur de son action suite à des inquiétudes au sujet des liquidités de l'avionneur et de l'interruption de son programme d'avion d'affaires "Learjet 85".
Dans un communiqué, Bombardier a indiqué que Pierre Beaudoin succédera à son père, Laurent Beaudoin, qui quitte ses fonctions de président du conseil d'administration après plus de 50 ans passée à la tête de l'entreprise, soulignant, toutefois, qu'il restera au conseil avec le titre honorifique de président émérite .
Alain Bellemare, le nouveau patron de Bombardier, est un ancien dirigeant au sein du groupe industriel américain "United Technologies Corp" (UTC) où il a passé 18 ans, notamment chez la filiale du groupe "Pratt & Whitney", le constructeur américain de moteurs d'avions. Ces changements à la tête de Bombardier interviennent alors que la firme canadienne a vécu des périodes difficiles au cours de la dernière année, avec ses faibles ventes de sa nouvelle famille d'avions "CSeries", ses réductions importantes de personnel et la chute de la valeur de son action suite à des inquiétudes au sujet des liquidités de l'avionneur et de l'interruption de son programme d'avion d'affaires "Learjet 85".