Le Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA) français a expliqué lors d'une conférence de presse que ses enquêteurs n'étaient pas en mesure, dans l'immédiat, d'exploiter les données d'une des deux boîtes noires, celle contenant les enregistrements des conversations de l'équipage.
"La bande magnétique de l'enregistreur phonique, Cockpit Voice Recorder, qui était endommagée, a pu être remise en état et lue. Malheureusement, les enregistrements qu'elle contenait se révèlent inexploitables, en raison vraisemblablement d'un défaut de fonctionnement sans lien avec les dommages résultant de l'accident" selon le BEA.
Il a précisé qu'il y avait bien du "signal sonore enregistré sur la bande, mais ce signal est inintelligible à ce stade". Le BEA a souligné s'être tourné "vers les meilleurs experts" pour tenter de lire le signal.
"La bande magnétique de l'enregistreur phonique, Cockpit Voice Recorder, qui était endommagée, a pu être remise en état et lue. Malheureusement, les enregistrements qu'elle contenait se révèlent inexploitables, en raison vraisemblablement d'un défaut de fonctionnement sans lien avec les dommages résultant de l'accident" selon le BEA.
Il a précisé qu'il y avait bien du "signal sonore enregistré sur la bande, mais ce signal est inintelligible à ce stade". Le BEA a souligné s'être tourné "vers les meilleurs experts" pour tenter de lire le signal.