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Un apprenti-pilote dont l'avion s'est écrasé sur la maison de son ex-belle-mère, le tuant lui et sa fille de huit ans,avait appelé son ex-femme avant le crash pour lui dire qu'il était avec sa fille et qu'elle «ne l'aurait pas».
C'est ce qu'a expliqué la belle-mère mardi à Bedford, dans l'Indiana (centre-nord des Etats-Unis).
Alors que les enquêteurs tentaient toujours d'expliquer pourquoi Eric Johnson, 47 ans, avait attaché sa fillette sur le siège passager avant de précipiter volontairement son avion sur la maison, la belle-mère, Vivian Pace, a détaillé l'appel depuis un téléphone portable.
Elle a affirmé qu'elle n'avait aucun doute sur le caractère délibéré de ce crash parce que, a-t-elle confié, Johnson harcelait sonex-épouse depuis des mois, allant jusqu'à acheter une maison dans lamême rue qu'elle.
Le 14 juillet 2006, Beth Johnson avait pourtant obtenu de lajustice qu'il ne s'approche pas d'elle. Selon la police locale, Johnson avait menacé l'été dernier sa femme avec une arme pour tenter de la dissuader de divorcer.
«C'était le seul moyen de faire du mal à Beth. C'était le seul moyen de la toucher au coeur», a dit Mme Pace. Elle a ajouté que lorsde l'appel sur le téléphone portable, Beth pouvait entendre sa fille Emily crier derrière son père, «Maman, viens me chercher, viens me chercher!» On ignore encore si l'appel a été passé depuis le cockpit ou peu avant le décollage.
La police a ouvert une enquête pour suicide et homicide. Le sergent Dave Bursten de la police d'Indiana a relevé que les enquêteurs devaient encore trouver une indication claire des intentions de Johnson. «Tous ces éléments mis bout à bout nous conduisent dans la direction de l'acte intentionnel», a-t-il cependant constaté.
C'est ce qu'a expliqué la belle-mère mardi à Bedford, dans l'Indiana (centre-nord des Etats-Unis).
Alors que les enquêteurs tentaient toujours d'expliquer pourquoi Eric Johnson, 47 ans, avait attaché sa fillette sur le siège passager avant de précipiter volontairement son avion sur la maison, la belle-mère, Vivian Pace, a détaillé l'appel depuis un téléphone portable.
Elle a affirmé qu'elle n'avait aucun doute sur le caractère délibéré de ce crash parce que, a-t-elle confié, Johnson harcelait sonex-épouse depuis des mois, allant jusqu'à acheter une maison dans lamême rue qu'elle.
Le 14 juillet 2006, Beth Johnson avait pourtant obtenu de lajustice qu'il ne s'approche pas d'elle. Selon la police locale, Johnson avait menacé l'été dernier sa femme avec une arme pour tenter de la dissuader de divorcer.
«C'était le seul moyen de faire du mal à Beth. C'était le seul moyen de la toucher au coeur», a dit Mme Pace. Elle a ajouté que lorsde l'appel sur le téléphone portable, Beth pouvait entendre sa fille Emily crier derrière son père, «Maman, viens me chercher, viens me chercher!» On ignore encore si l'appel a été passé depuis le cockpit ou peu avant le décollage.
La police a ouvert une enquête pour suicide et homicide. Le sergent Dave Bursten de la police d'Indiana a relevé que les enquêteurs devaient encore trouver une indication claire des intentions de Johnson. «Tous ces éléments mis bout à bout nous conduisent dans la direction de l'acte intentionnel», a-t-il cependant constaté.
