L’Etat, avertit Driss Benhima, n’a plus que deux choix, face à une RAM qui touche le fond : « Soit la compagnie se réajuste, et l’Etat l’aide pour cela et dans dix ans le Maroc pourrait avoir la première compagnie africaine, soit elle est laissée dans la situation actuelle et dans ce cas, l’issue fatale et inéluctable est bien plus proche qu’on ne le pense », avertit Benhima pour qui il n’y a ni «alternative ni milieu » à ces deux choix antinomiques...
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