L'offre marocaine proposée aux multinationales et autres intervenants dans l'industrie aéronautique est exceptionnelle dans la région maghrébine, relève le directeur général de l'ONDA, Abdelhanine Benâallou.
Si l'existence d'offres de parties tierces peut concurrencer le Maroc sur le plan du foisonnement de la main-d'œuvre, de cadres qualifiés et d'environnement propice à l'industrialisation, force est de reconnaître que l'offre nationale est exceptionnelle du fait qu'elle est conforme aux normes internationales de la qualité, a-t-il dit.
"Nous avons déterminé, dans notre stratégie élaborée en 2005, les spécificités qui nous distinguent et qui nous permettent de défier la concurrence étrangère", a-t-il souligné. M. Benâallou rappelle de même qu'il a été procédé à l'aménagement d'espaces de production industrielle "prêts à l'emploi" (Ready to out put) équipés en eau, en électricité, en air comprimé et reliés au réseau informatique, ainsi que des plates-formes dotées d'équipements modernes nécessaires aux activités de l'entreprise.
Tous ces détails figurent dans des documents qui sont mis à la disposition des investisseurs étrangers lors des différentes rencontres appropriées, a-t-il indiqué.
Les sociétés désirant investir dans l'Aeropôle peuvent poursuivre leurs activités avec les unités de départ de même qu'elles peuvent créer, par la suite, leurs propres unités avec toutes les particularités technologiques qu'exige l'industrie de sous-traitance en aéronautique.
Le pôle d'industrie aéronautique de Nouaceur, qui s'étale sur une superficie de 206 ha, dispose de terrains viabilisés et équipés et qui sont proposés en location de longue durée à des taux encourageants, évitant ainsi aux investisseurs l'immobilisation de capitaux pour l'acquisition du foncier.
Grâce à cette formule, les nouveaux investisseurs peuvent occuper les unités de production de précédents investisseurs qui ont pu créer leurs propres et définitives unités. Actuellement, le nombre de sociétés multiservices qui investissent dans l'Aeropôle est de 41.
L'Industrie aéronautique exige, par ailleurs, une formation spécialisée, une grande expertise et des compétences élevées, ce qui s'avère difficile à garantir dans les pays tiers-mondistes.
Toutefois, affirme M. Benâallou, le Maroc constitue une exception car disposant d'instituts, d'universités et de hautes écoles d'ingénieurs ainsi que d'établissements de formation professionnelle qui préparent des compétences en matière d'ingénierie, de technologie moderne et autres spécialisations qui peuvent être adaptées à travers des stages et de courtes sessions de formation.
L'ouverture des sociétés mondiales et l'intérêt qu'elles portent aux lauréats des écoles et des instituts susmentionnés a donné lieu, une année après le début de leur activité au sein de l'Aeropôle, à des résultats satisfaisants qui ont amené à réfléchir à l'élaboration d'un programme d'action réalisé par l'Office en partenariat avec l'Académie internationale Mohammed VI et l'association des sociétés d'industrie aéronautique, avec pour objectif d'accélérer l'adaptation des lauréats ayant intégré ces sociétés.
On peut ainsi affirmer que le Maroc a relevé le défi qui se pose en matière de sous-traitance d'industrie aéronautique mondiale en intégrant avec confiance et ferme volonté le monde des Grands.
Si l'existence d'offres de parties tierces peut concurrencer le Maroc sur le plan du foisonnement de la main-d'œuvre, de cadres qualifiés et d'environnement propice à l'industrialisation, force est de reconnaître que l'offre nationale est exceptionnelle du fait qu'elle est conforme aux normes internationales de la qualité, a-t-il dit.
"Nous avons déterminé, dans notre stratégie élaborée en 2005, les spécificités qui nous distinguent et qui nous permettent de défier la concurrence étrangère", a-t-il souligné. M. Benâallou rappelle de même qu'il a été procédé à l'aménagement d'espaces de production industrielle "prêts à l'emploi" (Ready to out put) équipés en eau, en électricité, en air comprimé et reliés au réseau informatique, ainsi que des plates-formes dotées d'équipements modernes nécessaires aux activités de l'entreprise.
Tous ces détails figurent dans des documents qui sont mis à la disposition des investisseurs étrangers lors des différentes rencontres appropriées, a-t-il indiqué.
Les sociétés désirant investir dans l'Aeropôle peuvent poursuivre leurs activités avec les unités de départ de même qu'elles peuvent créer, par la suite, leurs propres unités avec toutes les particularités technologiques qu'exige l'industrie de sous-traitance en aéronautique.
Le pôle d'industrie aéronautique de Nouaceur, qui s'étale sur une superficie de 206 ha, dispose de terrains viabilisés et équipés et qui sont proposés en location de longue durée à des taux encourageants, évitant ainsi aux investisseurs l'immobilisation de capitaux pour l'acquisition du foncier.
Grâce à cette formule, les nouveaux investisseurs peuvent occuper les unités de production de précédents investisseurs qui ont pu créer leurs propres et définitives unités. Actuellement, le nombre de sociétés multiservices qui investissent dans l'Aeropôle est de 41.
L'Industrie aéronautique exige, par ailleurs, une formation spécialisée, une grande expertise et des compétences élevées, ce qui s'avère difficile à garantir dans les pays tiers-mondistes.
Toutefois, affirme M. Benâallou, le Maroc constitue une exception car disposant d'instituts, d'universités et de hautes écoles d'ingénieurs ainsi que d'établissements de formation professionnelle qui préparent des compétences en matière d'ingénierie, de technologie moderne et autres spécialisations qui peuvent être adaptées à travers des stages et de courtes sessions de formation.
L'ouverture des sociétés mondiales et l'intérêt qu'elles portent aux lauréats des écoles et des instituts susmentionnés a donné lieu, une année après le début de leur activité au sein de l'Aeropôle, à des résultats satisfaisants qui ont amené à réfléchir à l'élaboration d'un programme d'action réalisé par l'Office en partenariat avec l'Académie internationale Mohammed VI et l'association des sociétés d'industrie aéronautique, avec pour objectif d'accélérer l'adaptation des lauréats ayant intégré ces sociétés.
On peut ainsi affirmer que le Maroc a relevé le défi qui se pose en matière de sous-traitance d'industrie aéronautique mondiale en intégrant avec confiance et ferme volonté le monde des Grands.