Des astronomes algériens ambitionnent de construire dans les Aurès le premier observatoire astronomique en Algérie, après l'ouverture l'année dernière à Constantine de la première école doctorale d'astrophysique au Maghreb. "Nous sommes dans la phase de prospection.
Deux sites ont été choisis", a déclaré à l'APS le Dr Nassim Seghouani, chef du département Astronomie au Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) et l'un des initiateurs du projet.
Le premier site est situé au mont Chelia, près de Batna, et le deuxième, qui a le plus les faveurs des experts, est près du village de Cherchar, à 50 km au Sud-Ouest de Khenchela, a-t-il précisé.
Les deux sites sont situés à plus de 1 800 mètres d’altitude, a indiqué le Dr Seghouani. Des scientifiques japonais sont intéressés par le projet de l’observatoire des Aurès et sont prêts à s’y associer, notamment pour l’observation et l’étude en continu du Soleil.
«Le plus important est l’aménagement du site : route, infrastructure, Internet. Après viendra la mise en place de l’observatoire lui-même, qui comprend la coupole et l’instrument», notamment le télescope et ses accessoires, a estimé le Dr Seghouani. L’astrophysicien compte sur l’Année mondiale de l’astronomie 2009, dont il est le coordinateur des célébrations en Algérie, pour créer l’engouement autour de ce projet.
Deux sites ont été choisis", a déclaré à l'APS le Dr Nassim Seghouani, chef du département Astronomie au Centre de recherche en astronomie, astrophysique et géophysique (CRAAG) et l'un des initiateurs du projet.
Le premier site est situé au mont Chelia, près de Batna, et le deuxième, qui a le plus les faveurs des experts, est près du village de Cherchar, à 50 km au Sud-Ouest de Khenchela, a-t-il précisé.
Les deux sites sont situés à plus de 1 800 mètres d’altitude, a indiqué le Dr Seghouani. Des scientifiques japonais sont intéressés par le projet de l’observatoire des Aurès et sont prêts à s’y associer, notamment pour l’observation et l’étude en continu du Soleil.
«Le plus important est l’aménagement du site : route, infrastructure, Internet. Après viendra la mise en place de l’observatoire lui-même, qui comprend la coupole et l’instrument», notamment le télescope et ses accessoires, a estimé le Dr Seghouani. L’astrophysicien compte sur l’Année mondiale de l’astronomie 2009, dont il est le coordinateur des célébrations en Algérie, pour créer l’engouement autour de ce projet.