Ph. TAP galery
Dans le communiqué, Bruxelles a d'abord annoncé avoir autorisé une aide publique précédente de 1,2 milliard d'euros sous forme de prêt à cette compagnie portugaise TAP. C'est la deuxième fois que cette aide est autorisé puisque le premier feu vert avait été annulé en mai par le tribunal de l'UE suite à une contestation de Ryanair.
Le communiqué continue pour annoncé que l'exécutif européen a ouvert une enquête approfondie "afin de déterminer si les aides à la restructuration que le Portugal envisage d'accorder à TAP sont conformes aux règles de l'UE".
Ce plan de sauvetage de la compagnie prévoit une réduction des effectifs de plus de 2.000 salariés sur près de 10.000 avant la pandémie, des baisses de salaires ou encore une réduction de la flotte de la compagnie.
Le Portugal a notifié le 10 juin à la Commission un total de 3,2 milliards d'euros d'aides à la restructuration. Ce montant inclut 2,73 milliards d'euros de fonds propres ou de quasi-fonds propres, dont le prêt de 1,2 milliard qui serait finalement converti en fonds propres.
En outre, l'Etat portugais envisage un soutien supplémentaire de 512 millions d'euros, sous la forme d'une garantie d'Etat pour des emprunts à partir de 2022.
Le Tribunal de l'UE, basé à Luxembourg, avait demandé à la Commission d'adopter une nouvelle décision pour justifier chacune de ces aides exceptionnelles, accusées par Ryanair de favoriser ses concurrents. D'où la deuxième autorisation de Bruxelles.
Mme Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive de la Commission chargée de la concurrence, a déclaré ce qui suit: "Nous avons adopté une nouvelle décision par laquelle la Commission autorise à nouveau l'aide au sauvetage en faveur de la compagnie aérienne portugaise TAP, à la suite du récent arrêt du Tribunal annulant la première décision de la Commission. De cette manière, l'aide au sauvetage déjà versée ne devra pas être remboursée alors que se poursuivent les efforts pour élaborer un plan de restructuration solide garantissant la viabilité de TAP à long terme, sans nécessité de recourir à un soutien permanent de l'État. Dans ce contexte, nous avons aussi ouvert une enquête sur les aides à la restructuration notifiées par le Portugal. Nous poursuivons nos échanges constructifs avec les autorités portugaises sur ce dossier."
Le communiqué continue pour annoncé que l'exécutif européen a ouvert une enquête approfondie "afin de déterminer si les aides à la restructuration que le Portugal envisage d'accorder à TAP sont conformes aux règles de l'UE".
Ce plan de sauvetage de la compagnie prévoit une réduction des effectifs de plus de 2.000 salariés sur près de 10.000 avant la pandémie, des baisses de salaires ou encore une réduction de la flotte de la compagnie.
Le Portugal a notifié le 10 juin à la Commission un total de 3,2 milliards d'euros d'aides à la restructuration. Ce montant inclut 2,73 milliards d'euros de fonds propres ou de quasi-fonds propres, dont le prêt de 1,2 milliard qui serait finalement converti en fonds propres.
En outre, l'Etat portugais envisage un soutien supplémentaire de 512 millions d'euros, sous la forme d'une garantie d'Etat pour des emprunts à partir de 2022.
Le Tribunal de l'UE, basé à Luxembourg, avait demandé à la Commission d'adopter une nouvelle décision pour justifier chacune de ces aides exceptionnelles, accusées par Ryanair de favoriser ses concurrents. D'où la deuxième autorisation de Bruxelles.
Mme Margrethe Vestager, vice-présidente exécutive de la Commission chargée de la concurrence, a déclaré ce qui suit: "Nous avons adopté une nouvelle décision par laquelle la Commission autorise à nouveau l'aide au sauvetage en faveur de la compagnie aérienne portugaise TAP, à la suite du récent arrêt du Tribunal annulant la première décision de la Commission. De cette manière, l'aide au sauvetage déjà versée ne devra pas être remboursée alors que se poursuivent les efforts pour élaborer un plan de restructuration solide garantissant la viabilité de TAP à long terme, sans nécessité de recourir à un soutien permanent de l'État. Dans ce contexte, nous avons aussi ouvert une enquête sur les aides à la restructuration notifiées par le Portugal. Nous poursuivons nos échanges constructifs avec les autorités portugaises sur ce dossier."