Cho Hyun-ah, vice-présidente de Korean Air et fille aînée du PDG de la compagnie aérienne, a ordonné vendredi dernier à une hôtesse de l’air de quitter l’avion dans lequel elle avait été affectée alors que l’appareil s’apprêtait à décoller de New York pour se diriger vers Incheon, a fait savoir la direction de la société.
Selon les explications de responsables de Korean Air, l’hôtesse n’avait pas demandé à Cho si elle souhaitait un paquet de cacahuètes et, lorsqu’elle lui en a offert un, celui-ci n’avait pas été présenté sur une assiette comme le requiert le règlement interne.
C’est alors que Cho a aussitôt ordonné à l’hôtesse de débarquer de l’avion alors que ce dernier avait déjà quitté le terminal, le forçant ainsi à retourner à son point de départ et créant par la même occasion un retard. La compagnie a confirmé que le vol est arrivé à destination 11 minutes plus tard que prévu.
Selon l'agence de presse Yonhap, un officiel du ministère du Territoire, de l’Infrastructure et du Transport, qui a requis l’anonymat, a indiqué ce lundi que le gouvernement chercherait à déterminer si la décision de Cho était contraire aux règles de sécurité de l’aviation civile. En principe, les membres d’équipage d’un avion ne peuvent recevoir des ordres que de leur commandant de bord.
«Nous regarderons s’il y a eu une violation des règles. Nous devons étudier les règles car cet incident est sans précédent», a dit l’officiel à des journalistes.
Selon les explications de responsables de Korean Air, l’hôtesse n’avait pas demandé à Cho si elle souhaitait un paquet de cacahuètes et, lorsqu’elle lui en a offert un, celui-ci n’avait pas été présenté sur une assiette comme le requiert le règlement interne.
C’est alors que Cho a aussitôt ordonné à l’hôtesse de débarquer de l’avion alors que ce dernier avait déjà quitté le terminal, le forçant ainsi à retourner à son point de départ et créant par la même occasion un retard. La compagnie a confirmé que le vol est arrivé à destination 11 minutes plus tard que prévu.
Selon l'agence de presse Yonhap, un officiel du ministère du Territoire, de l’Infrastructure et du Transport, qui a requis l’anonymat, a indiqué ce lundi que le gouvernement chercherait à déterminer si la décision de Cho était contraire aux règles de sécurité de l’aviation civile. En principe, les membres d’équipage d’un avion ne peuvent recevoir des ordres que de leur commandant de bord.
«Nous regarderons s’il y a eu une violation des règles. Nous devons étudier les règles car cet incident est sans précédent», a dit l’officiel à des journalistes.
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