Les autorités éthiopiennes ont exprimé leur colère et leur inquiétude au gouvernement libanais qui n’a pas encore communiqué le rapport d’enquête préliminaire sur le crash d’un avion d’Ethiopian Airline quelques minutes après son décollage de Beyrouth le matin du 25 Janvier.
Une situation inacceptable puisque le rapport des enquêteurs français a été reçu par les autorités libanaises, via le BEA (Bureau d'Enquêtes et d'Analyses), plus de deux mois auparavant.
L'organisation de l’aviation civile internationale (OACI) stipule en annexe que le rapport préliminaire d’enquête sur un accident d'avion devrait être publié 30 jours après l'accident. Le rapport aurait dû être publié par le pays où l'accident est survenu, représenté par le ministère libanais de l'Urbanisme et des Transports, le 24 Février.
Les responsables éthiopiens sont "furieux" à cause de quelques journaux libanais qui ont annoncé, citant des sources officielles, que le crash est causé par une erreur de pilotage. D’autre part , le ministre éthiopien des Transports, Deriba Kuma, et le directeur général éthiopien, Girma Wake, ont accusé les autorités libanaises de cacher des informations pertinentes et de faire circuler de fausses informations sur l'accident.
Ethiopian Airlines a rejeté toute théorie impliquant le pilote, elle a rappelé que le comandant de bord, Habtamu Benti, avait servi la compagnie pendant plus de 20 ans, et cumulé plus de 11000 heures de vol en ajoutant qu’il a piloté le B737-800 pendant plus d’un an.
Cette semaine, l'AFP et quatre journaux libanais imprimés nouvelles similaires sur les causes de l'accident d'avion. Les nouvelles d'exécuter des rapports à la même date, en citant la source à l'unanimité qui a affirmé que l'erreur du pilote se trouvait derrière le crash de l'avion. Les rapports affirment que le capitaine de l'ET 409 n'avait pas d'expérience et était chargé de la charge de travail. Les rapports, dit le capitaine n'avait qu'un mois d'expérience avec les avions B737-800.
Une situation inacceptable puisque le rapport des enquêteurs français a été reçu par les autorités libanaises, via le BEA (Bureau d'Enquêtes et d'Analyses), plus de deux mois auparavant.
L'organisation de l’aviation civile internationale (OACI) stipule en annexe que le rapport préliminaire d’enquête sur un accident d'avion devrait être publié 30 jours après l'accident. Le rapport aurait dû être publié par le pays où l'accident est survenu, représenté par le ministère libanais de l'Urbanisme et des Transports, le 24 Février.
Les responsables éthiopiens sont "furieux" à cause de quelques journaux libanais qui ont annoncé, citant des sources officielles, que le crash est causé par une erreur de pilotage. D’autre part , le ministre éthiopien des Transports, Deriba Kuma, et le directeur général éthiopien, Girma Wake, ont accusé les autorités libanaises de cacher des informations pertinentes et de faire circuler de fausses informations sur l'accident.
Ethiopian Airlines a rejeté toute théorie impliquant le pilote, elle a rappelé que le comandant de bord, Habtamu Benti, avait servi la compagnie pendant plus de 20 ans, et cumulé plus de 11000 heures de vol en ajoutant qu’il a piloté le B737-800 pendant plus d’un an.
Cette semaine, l'AFP et quatre journaux libanais imprimés nouvelles similaires sur les causes de l'accident d'avion. Les nouvelles d'exécuter des rapports à la même date, en citant la source à l'unanimité qui a affirmé que l'erreur du pilote se trouvait derrière le crash de l'avion. Les rapports affirment que le capitaine de l'ET 409 n'avait pas d'expérience et était chargé de la charge de travail. Les rapports, dit le capitaine n'avait qu'un mois d'expérience avec les avions B737-800.