Le ministère du Commerce international italien a organisé fin Mars une visite à Casablanca pour faire le point sur les opportunités de marché pour les entreprises aéronautiques italiennes. Une délégation composée de professionnel du secteur a rencontré les cadres de l'ONDA (Office National Des Aéroports) et du GIMAS (Groupement des industriels marocains aéronautique et spatial).
La délégation italienne a visité la zone industrielle de Casablanca et les usines d'équipements aéronautiques, «Les opérateurs sont venus à la base aéronautique pour se rendre compte de l'expertise locale, notamment dans les domaines de l'aérostructure, les composites, la mécanique aéronautique et le traitement des surfaces», explique Hamid Benbrahim El Andaloussi, président du Gimas.
La mission italienne arrive à un moment où les entreprises européennes du secteur aéronautique cherchent à délocaliser une partie de leur activité dans la zone dollars pour répondre à un marché en pleine explosion et faire face à la concurrence américaine.
Au début de la première guerre mondiale, l'industrie aéronautique italienne était quasiment inexistante et les forces armées étaient équipées d'une flotte très réduite (60 avions, 5 dirigeables, et 12 hydravions). L'industrie aéronautique italienne se développa en 1910 lorsque Gianni Caproni entreprit la construction d'une usine de production de grands bombardiers. Elle connut une expansion exceptionnelle pendant la guerre. A la fin de celle-ci, 12.000 avions et 25.000 moteurs avaient été produits. L'Italie était devenue la quatrième puissance aéronautique du monde, après la France, le Royaume-Uni, et l'Allemagne.
Aujourd'hui le secteur aéronautique italien compte d'importants opérateurs dont Finmeccanica, second groupe industriel italien, est le premier dans la haute technologie en Italie et un des 5 premiers dans le monde. A travers sa filiale Alenia Aeronautica, il construit des avions régionaux avec EADS et participe dans la construction de Boeing. Finmeccanica est le premier constructeur mondial d'avions de 100 places et le second d'hélicoptères.
La délégation italienne a visité la zone industrielle de Casablanca et les usines d'équipements aéronautiques, «Les opérateurs sont venus à la base aéronautique pour se rendre compte de l'expertise locale, notamment dans les domaines de l'aérostructure, les composites, la mécanique aéronautique et le traitement des surfaces», explique Hamid Benbrahim El Andaloussi, président du Gimas.
La mission italienne arrive à un moment où les entreprises européennes du secteur aéronautique cherchent à délocaliser une partie de leur activité dans la zone dollars pour répondre à un marché en pleine explosion et faire face à la concurrence américaine.
Au début de la première guerre mondiale, l'industrie aéronautique italienne était quasiment inexistante et les forces armées étaient équipées d'une flotte très réduite (60 avions, 5 dirigeables, et 12 hydravions). L'industrie aéronautique italienne se développa en 1910 lorsque Gianni Caproni entreprit la construction d'une usine de production de grands bombardiers. Elle connut une expansion exceptionnelle pendant la guerre. A la fin de celle-ci, 12.000 avions et 25.000 moteurs avaient été produits. L'Italie était devenue la quatrième puissance aéronautique du monde, après la France, le Royaume-Uni, et l'Allemagne.
Aujourd'hui le secteur aéronautique italien compte d'importants opérateurs dont Finmeccanica, second groupe industriel italien, est le premier dans la haute technologie en Italie et un des 5 premiers dans le monde. A travers sa filiale Alenia Aeronautica, il construit des avions régionaux avec EADS et participe dans la construction de Boeing. Finmeccanica est le premier constructeur mondial d'avions de 100 places et le second d'hélicoptères.