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A l'occasion du salon aéronautique de Tripoli Lavex 4 au 6 décembre, la Libye a annoncée un contrat, de 100 millions d'euros environ, pour la remise en vol de 12 des 40 Mirage F1 qu'elle possède. Le contrat sera réalisé par la société Sofema qui réunit les compétences de Dassault Aviation (constructeur), de Snecma (Motorisation) et de Thalès (Equipementier).
Par ailleurs, le fait de remettre en vol une partie seulement des Mirage F1 donne un espoir pour Dassault aviation d'exporter son avion Rafale vers la Libye. L'avion était la vedette du salon Lavex2006 et a connu la visite de plusieurs responsables dont le premier ministre. La visite en France du chef d'Etat libyen Mouammar Khadafi programmée d'ici les prochaines semaines fera plus de lumière sur les intentions des autorités libyennes.
Il est a rappelé que le Maroc, en 2005, avait aussi procédé a la modernisation d'une vingtaine de Mirage F1. Des rumeurs couraient depuis juin 2006 sur la possibilité d'achat d'avions Rafale par le Maroc. le quotidien économique français, La Tribune, affirmait alors dans ses colonnes que l'Arabie saoudite aurait financé l'achat de 12 à 18 appareils, citant des sources industrielles concordantes. Une information aussitôt démenti par Dassault Aviation et non confirmée par les autorités Marocaines.
Par ailleurs, le fait de remettre en vol une partie seulement des Mirage F1 donne un espoir pour Dassault aviation d'exporter son avion Rafale vers la Libye. L'avion était la vedette du salon Lavex2006 et a connu la visite de plusieurs responsables dont le premier ministre. La visite en France du chef d'Etat libyen Mouammar Khadafi programmée d'ici les prochaines semaines fera plus de lumière sur les intentions des autorités libyennes.
Il est a rappelé que le Maroc, en 2005, avait aussi procédé a la modernisation d'une vingtaine de Mirage F1. Des rumeurs couraient depuis juin 2006 sur la possibilité d'achat d'avions Rafale par le Maroc. le quotidien économique français, La Tribune, affirmait alors dans ses colonnes que l'Arabie saoudite aurait financé l'achat de 12 à 18 appareils, citant des sources industrielles concordantes. Une information aussitôt démenti par Dassault Aviation et non confirmée par les autorités Marocaines.
