Mais à l'époque celles-ci ontsignifié une fin de non-recevoir. Le dossier fut relancé l'année passéeavec l'accord favorable de ces mêmes autorités.
C'est ainsi que les pourparlers ont commencé avec leprincipe qu'«il n'est pas nécessaire aux deux pays de conclure unaccord aérien» pour que la ligne Alger-Montréal voit le jour.
Enmars 2006, ajoute la même source, une délégation canadienne s'estdéplacée à Alger pour auditer Air Algérie qui a réussi à obtenir uncertificat qui stipule qu'«Air Algérie est techniquement apte à assurercette desserte».
Selon le programme de la partie algérienne, le feu vertdéfinitif du Canada devait, au plus tard, être donné au début du moisd'avril. Mais ce ne fut nullement le cas! Et ce n'est que le 2 maidernier qu'Air Algérie est informée par Ottawa de sa décision deconditionner cette desserte par la conclusion d'un accord aérien.
AirAlgérie s'est trouvée ainsi dans l'obligation de remettre en cause sesprévisions pour laisser le temps aux deux Etats d'étudier une questionqui ne relève plus des prérogatives de l'entreprise publique. Il fautdonc attendre l'été 2007 pour espérer que la communauté algérienne auCanada puisse se déplacer à Alger à bord d'avions d'Air Algérie.
Entre temps, ce sont d'autres compagnies qui en tirerontprofit, notamment celle marocaine, la Royal Air Maroc. Le transporteuraérien public est, pour le moment, sur la piste d'une desserteAlgérie-Chine. Les autorités de ce pays ont été saisies, apprend-t-on.
C'est ainsi que les pourparlers ont commencé avec leprincipe qu'«il n'est pas nécessaire aux deux pays de conclure unaccord aérien» pour que la ligne Alger-Montréal voit le jour.
Enmars 2006, ajoute la même source, une délégation canadienne s'estdéplacée à Alger pour auditer Air Algérie qui a réussi à obtenir uncertificat qui stipule qu'«Air Algérie est techniquement apte à assurercette desserte».
Selon le programme de la partie algérienne, le feu vertdéfinitif du Canada devait, au plus tard, être donné au début du moisd'avril. Mais ce ne fut nullement le cas! Et ce n'est que le 2 maidernier qu'Air Algérie est informée par Ottawa de sa décision deconditionner cette desserte par la conclusion d'un accord aérien.
AirAlgérie s'est trouvée ainsi dans l'obligation de remettre en cause sesprévisions pour laisser le temps aux deux Etats d'étudier une questionqui ne relève plus des prérogatives de l'entreprise publique. Il fautdonc attendre l'été 2007 pour espérer que la communauté algérienne auCanada puisse se déplacer à Alger à bord d'avions d'Air Algérie.
Entre temps, ce sont d'autres compagnies qui en tirerontprofit, notamment celle marocaine, la Royal Air Maroc. Le transporteuraérien public est, pour le moment, sur la piste d'une desserteAlgérie-Chine. Les autorités de ce pays ont été saisies, apprend-t-on.