En 2024, le secteur aérien marocain connaît une croissance exceptionnelle. Selon les dernières données de la Direction des études et des prévisions financières (DEPF) du ministère de l'Économie et des Finances, le trafic passagers a atteint un niveau record de 18,1 millions de voyageurs sur les sept premiers mois de l'année, soit une hausse de 18,5% par rapport à 2023.
Cette performance s'explique par une forte augmentation du trafic international (+17,9%) et national (+24,6%)[1]. La majorité des aéroports marocains ont contribué à ce succès, avec des progressions notables dans certaines villes :
- Rabat-Salé : +40,4%
- Agadir : +34,6%
- Dakhla : +33,2%
- Marrakech : +30,2%
- Essaouira : +29,2%[1]
D'autres aéroports importants, comme Tanger (+20%), Fès (+11,4%) et Casablanca (+6,4%), ont enregistré des hausses significatives.
Le Maroc confirme son attrait touristique et sa position stratégique sur la scène aérienne mondiale. Les liaisons avec l'Europe ont connu la plus forte croissance (+19%), suivies par l'Afrique (+16,4%) et le Moyen et Extrême Orient (+12,1%). Les connexions avec l'Amérique du Nord (+8,4%) et le Maghreb (+7,6%) ont également progressé.
Le mois de juillet 2024 a été fructueux pour le secteur aérien marocain, avec plus de 3 millions de passagers, soit une augmentation de 14,8% par rapport à juillet 2023. Cela témoigne de l'attractivité croissante du Maroc comme destination estivale.
Au-delà du trafic passagers, le fret aérien a connu une forte croissance, avec une hausse de 24,2% sur les sept premiers mois de l'année. Cette progression souligne le rôle grandissant du Maroc dans les échanges commerciaux internationaux.
Ces résultats laissent présager une année 2024 record pour le secteur aérien marocain. Ils témoignent de l'efficacité des stratégies pour développer le tourisme et renforcer la connectivité. Si cette tendance se maintient, le Maroc pourrait s'imposer comme un hub aérien majeur en Afrique et dans le bassin méditerranéen.
Cette performance s'explique par une forte augmentation du trafic international (+17,9%) et national (+24,6%)[1]. La majorité des aéroports marocains ont contribué à ce succès, avec des progressions notables dans certaines villes :
- Rabat-Salé : +40,4%
- Agadir : +34,6%
- Dakhla : +33,2%
- Marrakech : +30,2%
- Essaouira : +29,2%[1]
D'autres aéroports importants, comme Tanger (+20%), Fès (+11,4%) et Casablanca (+6,4%), ont enregistré des hausses significatives.
Le Maroc confirme son attrait touristique et sa position stratégique sur la scène aérienne mondiale. Les liaisons avec l'Europe ont connu la plus forte croissance (+19%), suivies par l'Afrique (+16,4%) et le Moyen et Extrême Orient (+12,1%). Les connexions avec l'Amérique du Nord (+8,4%) et le Maghreb (+7,6%) ont également progressé.
Le mois de juillet 2024 a été fructueux pour le secteur aérien marocain, avec plus de 3 millions de passagers, soit une augmentation de 14,8% par rapport à juillet 2023. Cela témoigne de l'attractivité croissante du Maroc comme destination estivale.
Au-delà du trafic passagers, le fret aérien a connu une forte croissance, avec une hausse de 24,2% sur les sept premiers mois de l'année. Cette progression souligne le rôle grandissant du Maroc dans les échanges commerciaux internationaux.
Ces résultats laissent présager une année 2024 record pour le secteur aérien marocain. Ils témoignent de l'efficacité des stratégies pour développer le tourisme et renforcer la connectivité. Si cette tendance se maintient, le Maroc pourrait s'imposer comme un hub aérien majeur en Afrique et dans le bassin méditerranéen.