La Direction générale de l'aviation civile (DGAC) a renforcé ses infrastructures par l'inauguration d’un laboratoire d’analyse des données des enregistreurs de vol, un outil incontournable pour la conduite des enquêtes techniques d'aviation dans la mesure où elle permet aux enquêteurs de procéder efficacement au dépouillement et à l'analyse des données de vol en vue de déterminer les causes et les circonstances des accidents et incidents d'aviation tel qu’exigé par les normes internationales en vigueur.
Le nouveau laboratoire a été présenté par le chef du bureau d’enquête et d’analyse d’accidents d’aviation civile, Mbarek Lfakir qui précise qu'il dispose des capacités technico-opérationnelles qui confèrent au Maroc une réelle autonomie en matière d’exploitation systématique des données des enregistreurs de vol suite aux accidents et incidents graves, une protection des renseignements relatifs aux vols en question et un développement continu de l'expertise nationale.
Le laboratoire a la compétence juridique et technique pour analyser les enregistreurs embraqués à bord des avions marocains et étrangers en cas d'accidents d'aviation survenu sur le territoire ou l'espace aérien marocain ainsi qu'aux avions marocains à l’étranger.
La DGAC a signé plusieurs conventions avec ses homologues étrangers notamment la France en 2009, les Emirats Arabes Unies en 2015 et l’Arabie Saoudite en 2016, avec pour objectif l’échange des expériences, d’informations, d’expertises et de formations des enquêteurs.
A noter qu'un mémorandum d’entente a été signé, jeudi au siège de DGAC à Rabat, en matière de sûreté de l'aviation civile entre le Royaume du Maroc, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, en présence des représentants des départements compétents concernés des deux parties.
Le nouveau laboratoire a été présenté par le chef du bureau d’enquête et d’analyse d’accidents d’aviation civile, Mbarek Lfakir qui précise qu'il dispose des capacités technico-opérationnelles qui confèrent au Maroc une réelle autonomie en matière d’exploitation systématique des données des enregistreurs de vol suite aux accidents et incidents graves, une protection des renseignements relatifs aux vols en question et un développement continu de l'expertise nationale.
Le laboratoire a la compétence juridique et technique pour analyser les enregistreurs embraqués à bord des avions marocains et étrangers en cas d'accidents d'aviation survenu sur le territoire ou l'espace aérien marocain ainsi qu'aux avions marocains à l’étranger.
La DGAC a signé plusieurs conventions avec ses homologues étrangers notamment la France en 2009, les Emirats Arabes Unies en 2015 et l’Arabie Saoudite en 2016, avec pour objectif l’échange des expériences, d’informations, d’expertises et de formations des enquêteurs.
A noter qu'un mémorandum d’entente a été signé, jeudi au siège de DGAC à Rabat, en matière de sûreté de l'aviation civile entre le Royaume du Maroc, le Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d’Irlande du Nord, en présence des représentants des départements compétents concernés des deux parties.
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