Une délégation officielle conduite par le ministre de l'Industrie, du Commerce et des Nouvelles technologies, Abdelkader Amara, a fait le déplacement à Paris au Parc des expositions du Bourget, en région parisienne.
Amara devrait multiplier dans ce sens les rendez-vous professionnels et les rencontres d'information sur les opportunités d'investissement et d'affaires au Maroc et dans le secteur aéronautique en particulier, à la faveur des différentes mesures incitatives mises en place par le gouvernement marocain pour encourager le développement de cette industrie à fort potentiel, identifiée comme l'un des six métiers mondiaux du Maroc, dans le cadre du plan Emergence.
Dans cet effort de promotion du Maroc comme destination «privilégiée» et «compétitive» de l'investissement dans l'industrie aéronautique, est particulièrement concernée l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) qui supervise la participation nationale, accompagnée de plusieurs autres entreprises et organismes nationaux, publics et privés.
Il s'agit, en autres, du Groupement des Industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS), de la compagnie Royal Air Maroc, de l'Office national des aéroports (ONDA), des zones franches Tanger Free Zone et MIDPARC (Nouaceur, près de Casablanca), de l'aménageur des zones d'activité économique MEDZ, en plus de l'Institut des métiers de l'aéronautique et de la Fédération nationale de l'électricité et de l'électronique (FENELEC).
Au Maroc, le secteur aéronautique connaît un développement soutenu, puisqu'il compte aujourd'hui plus d'une centaine d'entreprises de référence internationale et emploie près de 10.000 personnes hautement qualifiées, souligne-t-on auprès de l'AMDI.
Ses responsables évoquent «un secteur aux perspectives de croissance annuelle de plus de 20% et où les investissements continuent de converger» d'autant plus que «la base aéronautique au Maroc est considérée aujourd'hui comme étant la supply chain la plus compétitive dans le prolongement naturel de l'Europe».
Le développement remarquable du secteur aéronautique et spatial au Maroc se traduit, selon eux, notamment par la présence «de véritables centres d'excellence» couvrant la production, les services, la maintenance et l'ingénierie, l'évolution du nombre d'implantations qui «s'est fortement accru ces dernières années» pour atteindre aujourd'hui près de 100 entreprises (dont 70% ont moins de 5 ans d'existence), une situation confortée par la présence de grands groupes internationaux tels Boeing, Safran, Bombardier et EADS Aviation.
Le chiffre d'affaires des entreprises installées est estimé à 8 milliards de dirhams (0,7 milliards d'euros) au titre de l'exercice 2011.
Le potentiel estimé de ces mesures se chiffre à environ 4 milliards de dirhams (0,4 milliards d'euros) de PIB additionnels avec une création d'environ 15.000 nouveaux emplois directs à l'horizon 2015.
Amara devrait multiplier dans ce sens les rendez-vous professionnels et les rencontres d'information sur les opportunités d'investissement et d'affaires au Maroc et dans le secteur aéronautique en particulier, à la faveur des différentes mesures incitatives mises en place par le gouvernement marocain pour encourager le développement de cette industrie à fort potentiel, identifiée comme l'un des six métiers mondiaux du Maroc, dans le cadre du plan Emergence.
Dans cet effort de promotion du Maroc comme destination «privilégiée» et «compétitive» de l'investissement dans l'industrie aéronautique, est particulièrement concernée l'Agence marocaine de développement des investissements (AMDI) qui supervise la participation nationale, accompagnée de plusieurs autres entreprises et organismes nationaux, publics et privés.
Il s'agit, en autres, du Groupement des Industries marocaines aéronautiques et spatiales (GIMAS), de la compagnie Royal Air Maroc, de l'Office national des aéroports (ONDA), des zones franches Tanger Free Zone et MIDPARC (Nouaceur, près de Casablanca), de l'aménageur des zones d'activité économique MEDZ, en plus de l'Institut des métiers de l'aéronautique et de la Fédération nationale de l'électricité et de l'électronique (FENELEC).
Au Maroc, le secteur aéronautique connaît un développement soutenu, puisqu'il compte aujourd'hui plus d'une centaine d'entreprises de référence internationale et emploie près de 10.000 personnes hautement qualifiées, souligne-t-on auprès de l'AMDI.
Ses responsables évoquent «un secteur aux perspectives de croissance annuelle de plus de 20% et où les investissements continuent de converger» d'autant plus que «la base aéronautique au Maroc est considérée aujourd'hui comme étant la supply chain la plus compétitive dans le prolongement naturel de l'Europe».
Le développement remarquable du secteur aéronautique et spatial au Maroc se traduit, selon eux, notamment par la présence «de véritables centres d'excellence» couvrant la production, les services, la maintenance et l'ingénierie, l'évolution du nombre d'implantations qui «s'est fortement accru ces dernières années» pour atteindre aujourd'hui près de 100 entreprises (dont 70% ont moins de 5 ans d'existence), une situation confortée par la présence de grands groupes internationaux tels Boeing, Safran, Bombardier et EADS Aviation.
Le chiffre d'affaires des entreprises installées est estimé à 8 milliards de dirhams (0,7 milliards d'euros) au titre de l'exercice 2011.
Le potentiel estimé de ces mesures se chiffre à environ 4 milliards de dirhams (0,4 milliards d'euros) de PIB additionnels avec une création d'environ 15.000 nouveaux emplois directs à l'horizon 2015.