Le plan de départ volontaire, lancé récemment par la Royal Air Maroc (RAM), se déroule dans de "bonnes conditions", a affirmé le PDG de la compagnie nationale, Driss Benhima.
"Grâce à la prise de conscience par le personnel et ses représentants de la gravité de la situation, mais aussi grâce à un package complet d'incitations, d'indemnités et de mesures d'accompagnement mis au service de ceux qui nous quittent, le plan se déroule dans de bonnes conditions", a-t-il dit dans un entretien publié le quotidien Le Matin du Sahara et du Maghreb.
Et de souligner que la RAM ne ménagera aucun effort pour mener ce chantier de la manière "la plus humaine qui soit", dans une logique participative et dans le respect des accords conclus avec les délégués du personnel qui ont approuvé le plan de rationalisation et notamment son volet social.
Il a rappelé dans ce sens que sur 1.560 départs prévus, "nous en sommes déjà à 1.087 départs acceptés (soit 70% de notre objectif), dont 790 sont déjà effectifs, les autres devant s'étaler sur les semaines qui viennent".
"Comme toute opération RH (Ressources Humaines) de grande envergure, notre plan de départ volontaire ne va pas sans quelques cas posant des difficultés somme toute normales, a-t-il affirmé, citant à cet égard la catégorie de personnel des hôtesses et stewards dont plus de 140 vont bénéficier du plan de départ volontaire. A ceux-là s'ajoutent une cinquantaine de cas moins consensuels qui, après apurement de leurs congés, ont la possibilité soit de bénéficier des conditions avantageuses du plan de départ volontaire (doublé d'un accompagnement personnalisé à la reconversion), soit d'être réaffectés suivant les besoins de la compagnie.
Le plan social de réduction des effectifs de RAM me semble, à ce jour, un modèle pour les entreprises nationales, qui seraient confrontées au même type de conjoncture, a-t-il assuré. M. Benhima a par ailleurs mis l'accent sur le contrat-programme conclu entre l'Etat et la RAM qui l'a qualifié d'acte très important de contractualisation des attentes du gouvernement vis-à-vis de la compagnie nationale.
Ce contrat-programme donne aussi une visibilité pour la compagnie en précisant les objectifs de service public portés par l'Etat et les mécanismes de prise en charge qu'il entend mettre en place, a-t-il ajouté.
"Grâce à la prise de conscience par le personnel et ses représentants de la gravité de la situation, mais aussi grâce à un package complet d'incitations, d'indemnités et de mesures d'accompagnement mis au service de ceux qui nous quittent, le plan se déroule dans de bonnes conditions", a-t-il dit dans un entretien publié le quotidien Le Matin du Sahara et du Maghreb.
Et de souligner que la RAM ne ménagera aucun effort pour mener ce chantier de la manière "la plus humaine qui soit", dans une logique participative et dans le respect des accords conclus avec les délégués du personnel qui ont approuvé le plan de rationalisation et notamment son volet social.
Il a rappelé dans ce sens que sur 1.560 départs prévus, "nous en sommes déjà à 1.087 départs acceptés (soit 70% de notre objectif), dont 790 sont déjà effectifs, les autres devant s'étaler sur les semaines qui viennent".
"Comme toute opération RH (Ressources Humaines) de grande envergure, notre plan de départ volontaire ne va pas sans quelques cas posant des difficultés somme toute normales, a-t-il affirmé, citant à cet égard la catégorie de personnel des hôtesses et stewards dont plus de 140 vont bénéficier du plan de départ volontaire. A ceux-là s'ajoutent une cinquantaine de cas moins consensuels qui, après apurement de leurs congés, ont la possibilité soit de bénéficier des conditions avantageuses du plan de départ volontaire (doublé d'un accompagnement personnalisé à la reconversion), soit d'être réaffectés suivant les besoins de la compagnie.
Le plan social de réduction des effectifs de RAM me semble, à ce jour, un modèle pour les entreprises nationales, qui seraient confrontées au même type de conjoncture, a-t-il assuré. M. Benhima a par ailleurs mis l'accent sur le contrat-programme conclu entre l'Etat et la RAM qui l'a qualifié d'acte très important de contractualisation des attentes du gouvernement vis-à-vis de la compagnie nationale.
Ce contrat-programme donne aussi une visibilité pour la compagnie en précisant les objectifs de service public portés par l'Etat et les mécanismes de prise en charge qu'il entend mettre en place, a-t-il ajouté.