Selon le rapport final du Bureau d'enquêtes et d'analyses (BEA), la « non-activation » du système anti-givre des moteurs de l’avion aurait causé le crash du McDonnell Douglas DC 9-83 d'Air Algérie le 24 Juillet 2014 au nord du Mali.
La réaction de l’équipage a été remise en cause par le rapport du BEA. Le jour du crash, l'avion d'Air Algérie affrété par Swiftair quitte Ouagadougou à destination d'Alger. Très vite sa vitesse chute et l'avion décroche. Pour les experts du BEA, les capteurs de pression situés au niveau des moteurs, qui permettent au pilotes de connaître la poussée de l'avion, ont été obstrués par la glace à haute altitude. L'équipage n'a pas activé le système anti-givre censé réchauffer les capteurs en permanence.
Le pilote automatique reçoit alors des informations erronées et s'adapte en diminuant la poussée. C'est ce qui causera la chute de l'avion.
La réaction de l’équipage a été remise en cause par le rapport du BEA. Le jour du crash, l'avion d'Air Algérie affrété par Swiftair quitte Ouagadougou à destination d'Alger. Très vite sa vitesse chute et l'avion décroche. Pour les experts du BEA, les capteurs de pression situés au niveau des moteurs, qui permettent au pilotes de connaître la poussée de l'avion, ont été obstrués par la glace à haute altitude. L'équipage n'a pas activé le système anti-givre censé réchauffer les capteurs en permanence.
Le pilote automatique reçoit alors des informations erronées et s'adapte en diminuant la poussée. C'est ce qui causera la chute de l'avion.
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