Certains Marocains résidant aux États-Unis d’Amérique et au Canada montent au créneau ces jours-ci pour critiquer, voire dénoncer, les tarifs pratiqués par Royal Air Maroc sur les vols reliant l’Amérique du Nord au Maroc. Pour voir plus clair dans cette affaire, il a fallu comparer et analyser les tarifs pratiqués par Royal Air Maroc et ceux proposés par les concurrents sur des vols similaires depuis les grands moteurs de recherche mis à la disposition de la clientèle sur Internet. Il était également nécessaire d'étudier tous les paramètres liés aux capacités du marché de transport aérien entre l’Amérique du Nord et l’Europe-Afrique pour essayer de comprendre comment les opérateurs définissent leurs tarifs et pourquoi ceux-ci varient d’une saison à une autre et d’une zone géographique à une autre.
Tout d’abord, il faut souligner que le marché du transport aérien est libre depuis la signature par l’État marocain de plusieurs accords d’open sky. Royal Air Maroc opère donc sur un marché libéralisé et très concurrentiel. Les clients bénéficient d’offres pléthoriques de la part de plusieurs opérateurs. Par conséquent, la compagnie nationale est obligée de proposer des prix compétitifs. Il n’empêche que les prix de Royal Air Maroc sur l’ensemble de l’année sont largement compétitifs et comparables aux prix pratiqués par les compagnies régulières entre l’Europe et les États-Unis. En procédant à différentes simulations, il s’avère que les prix pratiqués ne sont guère plus chers que l’offre des concurrents qui proposent des vols avec une à deux escales.
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Tout d’abord, il faut souligner que le marché du transport aérien est libre depuis la signature par l’État marocain de plusieurs accords d’open sky. Royal Air Maroc opère donc sur un marché libéralisé et très concurrentiel. Les clients bénéficient d’offres pléthoriques de la part de plusieurs opérateurs. Par conséquent, la compagnie nationale est obligée de proposer des prix compétitifs. Il n’empêche que les prix de Royal Air Maroc sur l’ensemble de l’année sont largement compétitifs et comparables aux prix pratiqués par les compagnies régulières entre l’Europe et les États-Unis. En procédant à différentes simulations, il s’avère que les prix pratiqués ne sont guère plus chers que l’offre des concurrents qui proposent des vols avec une à deux escales.
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