RAM se retire du capital de Matis Aerospace, au profit de ses deux partenaires dans ce projet, Boeing et Labinal, qui détiennent désormais chacun 50%. Selon le quotidien L'économiste, RAM a empoché une belle somme d'argent, dont le montant n’a pas été révélé, pour le ticket de sortie du tour de table de MATIS. Pour le PDG de Royal Air Maroc: "ce choix répond à la nouvelle stratégie de la compagnie visant à se concentrer sur son cœur de métier".
Mr Hamid Benbrahim El Andaloussi, délégué général du groupe aéronautique Safran reconnaît certes à RAM d’avoir initié ce projet, mais "son retrait répond à une exigence de se débarrasser des actifs non stratégiques". Pour Benbrahim El Andaloussi, "ce projet, valeur d’exemple, a attiré d’autres industries aéronautiques". Il promet, la main sur le cœur, que Matis Aerospace qui a fêté ses dix ans le mois dernier, "s’engage dans une nouvelle phase de développement, bénéficiant à plein des augmentations de cadences de production que connaît le secteur et les prévisions sur les cinq années à venir".
Mr Hamid Benbrahim El Andaloussi, délégué général du groupe aéronautique Safran reconnaît certes à RAM d’avoir initié ce projet, mais "son retrait répond à une exigence de se débarrasser des actifs non stratégiques". Pour Benbrahim El Andaloussi, "ce projet, valeur d’exemple, a attiré d’autres industries aéronautiques". Il promet, la main sur le cœur, que Matis Aerospace qui a fêté ses dix ans le mois dernier, "s’engage dans une nouvelle phase de développement, bénéficiant à plein des augmentations de cadences de production que connaît le secteur et les prévisions sur les cinq années à venir".