Labinal (groupe Safran) et Shanghai Aircraft Manufacturing Co., Ltd. (SAMC), filiale de Commercial Aircraft Corporation of China (COMAC), annoncent la signature d’un accord cadre pour la création d’une Joint Venture. Le contrat a été signé à Shanghai par Karen Bomba, PDG de Labinal, et HE Dongfeng, vice-président de COMAC et président de SAMC. Etaient également présents à cette cérémonie Yves Leclère, directeur-général adjoint de Safran, branche Equipements aéronautiques, et WU Guanghui, vice-président de COMAC et ingénieur-en-chef chargé de la conception du C919.
Basée à Shanghai, la nouvelle société sera spécialisée dans la conception, le développement, la production et le support client des systèmes EWIS (Electrical Wiring Interconnection Systems) destinés au marché aéronautique de la région Asie-Pacifique. Elle est notamment chargée de la mise en œuvre du programme EWIS pour le C919. COMAC prévoit un marché global portant sur plus de 2 000 exemplaires du C919 dans les vingt ans suivant son entrée en service.
La nouvelle société commune sera détenue à 51 % par SAMC et à 49 % par Labinal.
« Après le choix de Safran comme fournisseur du système de propulsion complet du C919 de COMAC, cet accord marque une nouvelle étape dans le rôle que joue le Groupe dans la réussite de cet avion », explique Yves Leclère.
Basée à Shanghai, la nouvelle société sera spécialisée dans la conception, le développement, la production et le support client des systèmes EWIS (Electrical Wiring Interconnection Systems) destinés au marché aéronautique de la région Asie-Pacifique. Elle est notamment chargée de la mise en œuvre du programme EWIS pour le C919. COMAC prévoit un marché global portant sur plus de 2 000 exemplaires du C919 dans les vingt ans suivant son entrée en service.
La nouvelle société commune sera détenue à 51 % par SAMC et à 49 % par Labinal.
« Après le choix de Safran comme fournisseur du système de propulsion complet du C919 de COMAC, cet accord marque une nouvelle étape dans le rôle que joue le Groupe dans la réussite de cet avion », explique Yves Leclère.