"La vidéo surveillance avec reconnaissance faciale nous permettra de régler plusieurs problématiques dont celle de l’anticipation. Avec ce nouvel appareil, l’aéroport aura des garanties pour résoudre les problèmes d’investigation qui se posent", a-t-il notamment déclaré.
Le colonel Diouf s’exprimait lors de la réunion de coordination en visioconférence consacrée au suivi de la feuille de route sur la mise en œuvre de la stratégie nationale Hub aérien et développement touristique 2021-2025.
"Avec le nouveau système qui va être mis en œuvre, on anticipe déjà parce qu’étant intelligent et qui prend en compte même le positionnement d’un aéronef ainsi que les intrusions qui sont signalées avec des alertes pour que la gendarmerie et les personnels des compagnies puissent réagir en temps réel", a expliqué le SG du HAAS.
Le colonel Diouf a ajouté que la vidéo surveillance avec reconnaissance faciale va aussi permettre de faire un suivi des opérations avec des caméras de types divers installées un peu partout dans l’aéroport.
Selon lui, outre la reconnaissance faciale, le système va permettre d’identifier des personnes dès qu’elles entrent dans les goulots d’étranglement qui ont été définis.
"Tout ce qui se passera à l’aéroport sera vu sur nos écrans. La vidéo va nous signaler les identités et les personnes suspectes vont être suivies et repérées. Ce qui nous permettra de faire un contrôle beaucoup plus ciblé", a fait savoir Ababacar Sédikh Diouf.
Cette technologie permettra également à l’AIBD d’entrer dans la base de données d’Interpol, dans laquelle des personnes recherchées vont être retrouvées, ainsi que celles se trouvant sur la liste des terroristes, a ajouté le colonel Diouf.
Dans la base de données de l’AIBD, a-t-il signalé, la haute Autorité des Aéroports du Sénégal promet d’y mettre tous les noms des personnes qu’elle va recevoir des Nations Unies de même que ceux des personnes qui sont interdites de voyage et des terroristes ciblés.
"Nous pourrons identifier toutes ces personnes même si elles voyagent avec un faux passeport, à partir des écrans qui vont signaler en rouge, montrant que la personne est suspecte avant de dévoiler son nom", a expliqué le SG de la HAAS.
Il a ajouté que si une personne n’est pas dans la base de données de l’AIBD et qu’elle est suspecte, le système peut entrer dans tous ses comptes (Twitter, Facebook, Instagram) pour voir si elle est connue afin de permettre aux agents de faire la comparaison et donner la bonne information.
Il a précisé que c’est un noyau que la HAAS est en train de former pour intégrer après les aéroports régionaux, qui vont être supervisés à partir de l’AIBD.
Le colonel Diouf s’exprimait lors de la réunion de coordination en visioconférence consacrée au suivi de la feuille de route sur la mise en œuvre de la stratégie nationale Hub aérien et développement touristique 2021-2025.
"Avec le nouveau système qui va être mis en œuvre, on anticipe déjà parce qu’étant intelligent et qui prend en compte même le positionnement d’un aéronef ainsi que les intrusions qui sont signalées avec des alertes pour que la gendarmerie et les personnels des compagnies puissent réagir en temps réel", a expliqué le SG du HAAS.
Le colonel Diouf a ajouté que la vidéo surveillance avec reconnaissance faciale va aussi permettre de faire un suivi des opérations avec des caméras de types divers installées un peu partout dans l’aéroport.
Selon lui, outre la reconnaissance faciale, le système va permettre d’identifier des personnes dès qu’elles entrent dans les goulots d’étranglement qui ont été définis.
"Tout ce qui se passera à l’aéroport sera vu sur nos écrans. La vidéo va nous signaler les identités et les personnes suspectes vont être suivies et repérées. Ce qui nous permettra de faire un contrôle beaucoup plus ciblé", a fait savoir Ababacar Sédikh Diouf.
Cette technologie permettra également à l’AIBD d’entrer dans la base de données d’Interpol, dans laquelle des personnes recherchées vont être retrouvées, ainsi que celles se trouvant sur la liste des terroristes, a ajouté le colonel Diouf.
Dans la base de données de l’AIBD, a-t-il signalé, la haute Autorité des Aéroports du Sénégal promet d’y mettre tous les noms des personnes qu’elle va recevoir des Nations Unies de même que ceux des personnes qui sont interdites de voyage et des terroristes ciblés.
"Nous pourrons identifier toutes ces personnes même si elles voyagent avec un faux passeport, à partir des écrans qui vont signaler en rouge, montrant que la personne est suspecte avant de dévoiler son nom", a expliqué le SG de la HAAS.
Il a ajouté que si une personne n’est pas dans la base de données de l’AIBD et qu’elle est suspecte, le système peut entrer dans tous ses comptes (Twitter, Facebook, Instagram) pour voir si elle est connue afin de permettre aux agents de faire la comparaison et donner la bonne information.
Il a précisé que c’est un noyau que la HAAS est en train de former pour intégrer après les aéroports régionaux, qui vont être supervisés à partir de l’AIBD.