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L’investissement total est de 10 millions d’euros, soit un peu plus de 120 millions de DH. Il sera financé à hauteur de 40% par des fonds propres. La compagnie entend démarrer avant la fin de l’année, selon son directeur général, après avoir finalisé les formalités administratives.
L’essentiel de l’investissement est représenté par la flotte de la compagnie, deux Bae 146, des quadri-jets de 100 places. Le Bae 146 est un quadri-réacteur court-courrier spécialement mis au point pour desservir les aéroports urbains des grandes villes. Un avion qui dispose de réacteurs peu bruyants et de capacité de décollage et d’atterrissage adaptée aux distances courtes.
Tingair a commandé deux unités en ferme en plus de deux autres optionnelles. Les avions sont actuellement en phase de finition pour être mis aux standards de la nouvelle compagnie.
Tingair entend se positionner entre le low cost et les transporteurs traditionnels. D’où la naissance d’un nouveau terme: le middle-cost. Les avions de Tingair disposeront de deux classes, affaires et économique et les sièges seront disponibles à des tarifs très agressifs. Les horaires, promet Moraux, seront adaptés avec un premier vol à 8 heures du matin, le dernier à 20 heures.
Les lignes qu’entend exploiter Tingair sont celles desservant Tanger à Rotterdam et Bruxelles, dans un premier temps, avec ensuite une extension aux autres capitales européennes, Paris, Madrid et Barcelone. Ce qui place la communauté marocaine à l’étranger comme principale cible de la compagnie. Il s’agit d’un marché non encore exploité sur lequel Tingair entend se positionner. Des liaisons vers l’Oriental et vers Casablanca sont elles aussi prévues.
Tingair qui vient de s’installer à l’aéro-port de Tanger est en train d’étoffer son personnel qui devrait atteindre les 60 personnes à court terme. La compagnie entend se positionner en complémentarité avec les autres opérateurs tout en se focalisant sur la desserte aérienne du Nord, explique Moraux. Ce dernier, qui opérait dans différents pays d’Afrique de l’Ouest, a préféré venir s’installer au Maroc. Le pays offre un climat d’affaires plus accueillant. «J’ai visité le Maroc il y a plus de deux ans et j’ai été séduit par le pays», affirme le responsable de Tingair.
L’essentiel de l’investissement est représenté par la flotte de la compagnie, deux Bae 146, des quadri-jets de 100 places. Le Bae 146 est un quadri-réacteur court-courrier spécialement mis au point pour desservir les aéroports urbains des grandes villes. Un avion qui dispose de réacteurs peu bruyants et de capacité de décollage et d’atterrissage adaptée aux distances courtes.
Tingair a commandé deux unités en ferme en plus de deux autres optionnelles. Les avions sont actuellement en phase de finition pour être mis aux standards de la nouvelle compagnie.
Tingair entend se positionner entre le low cost et les transporteurs traditionnels. D’où la naissance d’un nouveau terme: le middle-cost. Les avions de Tingair disposeront de deux classes, affaires et économique et les sièges seront disponibles à des tarifs très agressifs. Les horaires, promet Moraux, seront adaptés avec un premier vol à 8 heures du matin, le dernier à 20 heures.
Les lignes qu’entend exploiter Tingair sont celles desservant Tanger à Rotterdam et Bruxelles, dans un premier temps, avec ensuite une extension aux autres capitales européennes, Paris, Madrid et Barcelone. Ce qui place la communauté marocaine à l’étranger comme principale cible de la compagnie. Il s’agit d’un marché non encore exploité sur lequel Tingair entend se positionner. Des liaisons vers l’Oriental et vers Casablanca sont elles aussi prévues.
Tingair qui vient de s’installer à l’aéro-port de Tanger est en train d’étoffer son personnel qui devrait atteindre les 60 personnes à court terme. La compagnie entend se positionner en complémentarité avec les autres opérateurs tout en se focalisant sur la desserte aérienne du Nord, explique Moraux. Ce dernier, qui opérait dans différents pays d’Afrique de l’Ouest, a préféré venir s’installer au Maroc. Le pays offre un climat d’affaires plus accueillant. «J’ai visité le Maroc il y a plus de deux ans et j’ai été séduit par le pays», affirme le responsable de Tingair.
