Envoyer
Imprimer
Grand
Petit
Un projet de création d'une compagnie aérienne privée baptisée Jasmin Airways, qui devra exploiter l'aéroport d'Enfidha, n'a pas pu voir le jour faute d'autorisation du ministère du Transport Tunisien. Le fondateur et coactionnaire de ce projet, Foued Sayadi, a précisé à l'agence officielle Tunisienne Tap que la compagnie, devant être créée moyennant un investissement estimé à 20 millions de dinars, elle se spécialisera dans les vols charter.
Une fois créé, le projet garantira, d'après lui, 150 emplois directs et 700 emplois indirects. «Le ministère du Transport adopte un esprit protectionniste et est toujours opposé à la création d'autres compagnies privées», a-t-il affirmé. «Si c'est pour protéger le transporteur national, c'est un faux raisonnement», estime le promoteur, «car les nouvelles compagnies tunisiennes privées ne pourront en aucun cas le concurrencer», a-t-il avancé.
Le responsable pense qu'au contraire, «l'implantation de ces compagnies permettra de préparer le terrain à l'Open Sky, impulser l'activité économique, créer des emplois et contribuer à la promotion du tourisme». M. Sayadi, qui s'engage à respecter le cahier des charges relatif à la réalisation de ce type de projets, estime que cette nouvelle compagnie, une fois créée, contribuera à l'exploitation optimale de l'infrastructure aéroportuaire en Tunisie dans la mesure ou les aéroports tunisiens, dont la capacité annuelle est estimée à 30 millions de personnes, n'accueillent qu'environ 6 millions personnes chaque année.
En Tunisie, Syphax Airlines est, jusqu'à présent, la seule compagnie aérienne privée qui a été autorisée à opérer après la révolution et à exploiter, aux côtés de Tunisair, l'aéroport international de Carthage. Pourtant, le pays prévoit d'ouvrir son ciel et avait déjà prévu des négociations, en octobre 2012, avec l'Union européenne concernant l'Open Sky.
D'après le responsable, plusieurs promoteurs tunisiens attendent le feu vert du ministère du Transport pour lancer des projets similaires. Contacté à plusieurs reprises par l'agence Tap pour plus de précisions sur ce dossier, le ministère du Transport n'a pas donné suite à ces contacts.
Une fois créé, le projet garantira, d'après lui, 150 emplois directs et 700 emplois indirects. «Le ministère du Transport adopte un esprit protectionniste et est toujours opposé à la création d'autres compagnies privées», a-t-il affirmé. «Si c'est pour protéger le transporteur national, c'est un faux raisonnement», estime le promoteur, «car les nouvelles compagnies tunisiennes privées ne pourront en aucun cas le concurrencer», a-t-il avancé.
Le responsable pense qu'au contraire, «l'implantation de ces compagnies permettra de préparer le terrain à l'Open Sky, impulser l'activité économique, créer des emplois et contribuer à la promotion du tourisme». M. Sayadi, qui s'engage à respecter le cahier des charges relatif à la réalisation de ce type de projets, estime que cette nouvelle compagnie, une fois créée, contribuera à l'exploitation optimale de l'infrastructure aéroportuaire en Tunisie dans la mesure ou les aéroports tunisiens, dont la capacité annuelle est estimée à 30 millions de personnes, n'accueillent qu'environ 6 millions personnes chaque année.
En Tunisie, Syphax Airlines est, jusqu'à présent, la seule compagnie aérienne privée qui a été autorisée à opérer après la révolution et à exploiter, aux côtés de Tunisair, l'aéroport international de Carthage. Pourtant, le pays prévoit d'ouvrir son ciel et avait déjà prévu des négociations, en octobre 2012, avec l'Union européenne concernant l'Open Sky.
D'après le responsable, plusieurs promoteurs tunisiens attendent le feu vert du ministère du Transport pour lancer des projets similaires. Contacté à plusieurs reprises par l'agence Tap pour plus de précisions sur ce dossier, le ministère du Transport n'a pas donné suite à ces contacts.
