Le décollage d'un avion Air France de Caracas à destination de Paris a été retardé samedi soir à la suite d'une "fausse alerte" à la bombe, a annoncé dimanche l'aéroport de Maiquetìa, qui dessert la capitale vénézuélienne.
"Fausse alerte à la bombe sur le vol 385 d'Air France Caracas-París. Départ reprogrammé pour ce dimanche, passagers hébergés" pendant la nuit, a écrit sur Twitter la direction de l'aéroport.
"Nous avons reçu des informations des services de renseignement français (...). On pense qu'un explosif aurait été placé pour exploser au cours d'un vol Caracas-Paris ou Paris-Caracas", avait déclaré dans la nuit le ministre vénézuélien de l'Intérieur et de la Justice, Miguel Rodríguez Torres, à la télévision officielle.
A Paris, le porte-parole du ministère de l'Intérieur avait confirmé à l'AFP que "les services de sécurité français (avaient) reçu une information faisant état de menaces sur la liaison entre Caracas et Paris".
Cette information a été transmise, en vertu du "principe de précaution" aux autorités vénézuéliennes, avait ajouté ce porte-parole, Pierre-Henry Brandet, précisant que les services de sécurité français continuaient de travailler "pour établir la réalité ou non de la menace".
Au total, 279 personnes devaient prendre place à bord de l'appareil, plus les 13 membres de l'équipage, avait-il dit.
"Fausse alerte à la bombe sur le vol 385 d'Air France Caracas-París. Départ reprogrammé pour ce dimanche, passagers hébergés" pendant la nuit, a écrit sur Twitter la direction de l'aéroport.
"Nous avons reçu des informations des services de renseignement français (...). On pense qu'un explosif aurait été placé pour exploser au cours d'un vol Caracas-Paris ou Paris-Caracas", avait déclaré dans la nuit le ministre vénézuélien de l'Intérieur et de la Justice, Miguel Rodríguez Torres, à la télévision officielle.
A Paris, le porte-parole du ministère de l'Intérieur avait confirmé à l'AFP que "les services de sécurité français (avaient) reçu une information faisant état de menaces sur la liaison entre Caracas et Paris".
Cette information a été transmise, en vertu du "principe de précaution" aux autorités vénézuéliennes, avait ajouté ce porte-parole, Pierre-Henry Brandet, précisant que les services de sécurité français continuaient de travailler "pour établir la réalité ou non de la menace".
Au total, 279 personnes devaient prendre place à bord de l'appareil, plus les 13 membres de l'équipage, avait-il dit.