Le directeur général de l'Office national marocain du tourisme (ONMT), Abderrafie Zouiten, a mis l'accent sur la nécessité de développer un low-cost national pour promouvoir la destination Maroc.
"Si la tendance a été positive ces dernières années, c’est surtout grâce à la croissance de l’offre aérienne low-cost à destination du Maroc", a noté M. Zouiten lors d’un entretien publié mercredi sur les colonnes de "L’Economiste", précisant que plus de 95% des touristes arrivent au Maroc par voie aérienne.
M. Zouiten a souligné qu’aucun pays ne fonctionne avec un seul opérateur aérien, mettant en relief les efforts déployés par la Royal air Maroc (RAM) pour le développement du secteur. "Cette initiative doit être pilotée par le ministère du Transport, de celui du Tourisme et de tous les acteurs concernés comme l’ONMT", a estimé M. Zouiten, ajoutant que "pour atteindre un seuil critique et doubler la capacité hôtelière, il faudra améliorer l’offre aérienne, tout en essayant de préserver la rentabilité de tous les acteurse.
Concernant la suppression de la ligne Essaouira-Paris, le DG de l’ONMT a fait savoir qu’un plan d’action triennal doit être mis en place afin d’éviter de rester uniquement sur cette liaison. Il s’agira de connecter Essaouira à d’autres marchés, notamment anglais et belge. Sur un autre registre, M. Zouiten a relevé l’évolution significative qu’ont connu les investissements touristiques durant les 8 dernières années.
"Pour faire face à la concurrence, il faut développer des clusters et accélérer l’émergence de stations balnéaires, comme celle de Taghazout", a-t-il ajouté. Dans ce contexte, M. Zouiten a invité à se focaliser davantage sur des segments comme le golf qui attire 100.000 joueurs et qui génère plus de 1,5 milliard de dirhams de recettes.
"Nous sommes en négociation avec la Fédération royale marocaine de golf pour développer l’offre marocaine, sachant que nous ciblons particulièrement le marché européen", a fait savoir le responsable, ajoutant que des négociations sont en cours avec l’OFPPT pour voir la possibilité d’ouvrir une académie de golf pour professionnaliser l’offre marocaine.
"Si la tendance a été positive ces dernières années, c’est surtout grâce à la croissance de l’offre aérienne low-cost à destination du Maroc", a noté M. Zouiten lors d’un entretien publié mercredi sur les colonnes de "L’Economiste", précisant que plus de 95% des touristes arrivent au Maroc par voie aérienne.
M. Zouiten a souligné qu’aucun pays ne fonctionne avec un seul opérateur aérien, mettant en relief les efforts déployés par la Royal air Maroc (RAM) pour le développement du secteur. "Cette initiative doit être pilotée par le ministère du Transport, de celui du Tourisme et de tous les acteurs concernés comme l’ONMT", a estimé M. Zouiten, ajoutant que "pour atteindre un seuil critique et doubler la capacité hôtelière, il faudra améliorer l’offre aérienne, tout en essayant de préserver la rentabilité de tous les acteurse.
Concernant la suppression de la ligne Essaouira-Paris, le DG de l’ONMT a fait savoir qu’un plan d’action triennal doit être mis en place afin d’éviter de rester uniquement sur cette liaison. Il s’agira de connecter Essaouira à d’autres marchés, notamment anglais et belge. Sur un autre registre, M. Zouiten a relevé l’évolution significative qu’ont connu les investissements touristiques durant les 8 dernières années.
"Pour faire face à la concurrence, il faut développer des clusters et accélérer l’émergence de stations balnéaires, comme celle de Taghazout", a-t-il ajouté. Dans ce contexte, M. Zouiten a invité à se focaliser davantage sur des segments comme le golf qui attire 100.000 joueurs et qui génère plus de 1,5 milliard de dirhams de recettes.
"Nous sommes en négociation avec la Fédération royale marocaine de golf pour développer l’offre marocaine, sachant que nous ciblons particulièrement le marché européen", a fait savoir le responsable, ajoutant que des négociations sont en cours avec l’OFPPT pour voir la possibilité d’ouvrir une académie de golf pour professionnaliser l’offre marocaine.