Il s'agit du choix d'un groupe canadien (S.M. International Construction Inc. SMi) en 2011pour l'édification du nouveau siège de la compagnie Air Algérie pour un contrat avoisinant 83 millions d'euros.
Le projet est à l'arrêt depuis juin 2013 après que le contrat ait été résilié par Air Algérie, le groupe canadien a engagé une procédure d'arbitrage international. Il réclame 90 millions d'euros de dommages et intérêts à son ancien partenaire algérien.
L'enquête des autorités algériennes de répression de la corruption est en cours pour établir si l'attribution du contrat à SMi, en 2011, a donné lieu à des actes de corruption.
Un homme d'affaires canadien jure que, peu avant la décision d'attribution du contrat, une rencontre a eu lieu sur un yacht en Méditerranée entre des cadres de la compagnie AIr Algérie et des dirigeants de SMi.
Le projet est à l'arrêt depuis juin 2013 après que le contrat ait été résilié par Air Algérie, le groupe canadien a engagé une procédure d'arbitrage international. Il réclame 90 millions d'euros de dommages et intérêts à son ancien partenaire algérien.
L'enquête des autorités algériennes de répression de la corruption est en cours pour établir si l'attribution du contrat à SMi, en 2011, a donné lieu à des actes de corruption.
Un homme d'affaires canadien jure que, peu avant la décision d'attribution du contrat, une rencontre a eu lieu sur un yacht en Méditerranée entre des cadres de la compagnie AIr Algérie et des dirigeants de SMi.