Cinq passagers à Paris attendent de décoller pour Casablanca, six à Tunis aimeraient partir pour Dallas, et quatre au Caire doivent encore passer par Dubai avant de pouvoir atteindre Singapore. Ça fait des heures qu’ils attendent dans leur salle d’embarquement, mais c’est pas de ma faute, je n’ai aucun avion libre pour le moment — je les ai tous envoyés désencombrer la région nord-est avec des trajets en trois étapes. Argh !
On commence par gérer deux petits avions et deux destinations depuis un aéroport. Puis on achète une tour de contrôle, un avion à 5 places, un stand de bagels pour faire patienter les passagers, un écran d’informations qui permet de les regrouper par destination, de nouvelles destinations, une deuxième piste d’atterrissage, de grands réservoirs d’essence pour de plus longs trajets...
La gestion d’un aéroport est un exercice très complexe, il faut être très organisé et "Now boarding" est très chronophage.
On commence par gérer deux petits avions et deux destinations depuis un aéroport. Puis on achète une tour de contrôle, un avion à 5 places, un stand de bagels pour faire patienter les passagers, un écran d’informations qui permet de les regrouper par destination, de nouvelles destinations, une deuxième piste d’atterrissage, de grands réservoirs d’essence pour de plus longs trajets...
La gestion d’un aéroport est un exercice très complexe, il faut être très organisé et "Now boarding" est très chronophage.