L'externalisation de RAM academy, annoncée la semaine dernière sur Aeronautique.ma, a été confirmée sur le quotidien Marocain Le Soir Echos par la compagnie Royal Air Maroc. La séparation est une action prévue dans le contrat programme signé entre l’Etat et Royal Air Maroc, le 21 septembre 2011.
"RAM Academy travaille de manière quasi exclusive pour la compagnie Royal Air Maroc. La régularité de son fonctionnement est, de ce fait, affectée par les aléas conjoncturels et les éléments cycliques qui caractérisent l’activité de Royal Air Maroc et qui ont des conséquences sur la planification de ses besoins en pilotes" précise la compagnie. Un des objectifs de l’externalisation est de répondre à ce souci et de permettre à RAM Academy d’avoir une activité régulière et de ne plus rester tributaire des fluctuations de l’activité de RAM.
L’autre objectif de l'externalisation est d'améliorer l’environnement concurrentiel de Royal Air Maroc. Les concurrents de la compagnie nationale ne forment pas leurs pilotes alors que Royal Air Maroc assure, par ses moyens propres, cette formation. Une tâche qui impose à la compagnie des investissements lourds et des frais de fonctionnement importants (achat d’avions de formation, moyens pédagogiques, recrutement d’instructeurs,…), des investissement qui pénalisent sa compétitivité.
"RAM Academy travaille de manière quasi exclusive pour la compagnie Royal Air Maroc. La régularité de son fonctionnement est, de ce fait, affectée par les aléas conjoncturels et les éléments cycliques qui caractérisent l’activité de Royal Air Maroc et qui ont des conséquences sur la planification de ses besoins en pilotes" précise la compagnie. Un des objectifs de l’externalisation est de répondre à ce souci et de permettre à RAM Academy d’avoir une activité régulière et de ne plus rester tributaire des fluctuations de l’activité de RAM.
L’autre objectif de l'externalisation est d'améliorer l’environnement concurrentiel de Royal Air Maroc. Les concurrents de la compagnie nationale ne forment pas leurs pilotes alors que Royal Air Maroc assure, par ses moyens propres, cette formation. Une tâche qui impose à la compagnie des investissements lourds et des frais de fonctionnement importants (achat d’avions de formation, moyens pédagogiques, recrutement d’instructeurs,…), des investissement qui pénalisent sa compétitivité.