Une rencontre s'est déroulée à Paris entre le ministre congolais des Transports et de l’Aviation Civile, Rodolphe Adada, et les responsables d'Air France, le partenaire technique de la compagnie aérienne de la Cemac, en vue de «finaliser l’accord de partenariat», indique un communiqué officiel, qui ajoute que les deux parties ont discuté les «modalités de décollage» de la compagnie aérienne régionale.
Le siège de la compagnie AIr Cemac a été fixé à Brazzaville et inauguré le 7 mars 2013. Les responsables de la compagnie ont lancé des pourparles avec Air France en 2012 après l'echec des négociations engagées avec Royal Air Maroc, Sn Brussels et South Africa Airways.
Toutefois, ces dernières ont du mal à aboutir du fait de deux points de blocage. D’abord Air France demande que la compagnie Air Cemac dispose du monopole du trafic régional, dans les six pays membres de la Cemac et que les compagnies nationales ne puissent assurer que les liaisons internes à chaque État. Ensuite, la compagnie aérienne française demande un tiers du capital d'Air Cemac, afin de disposer d'une minorité de blocage qui la prémunirait contre toute décision stratégique pouvant compromettre l'avenir de la société.
Le capital initial (10 milliards de FCFA) apporté par les États membres de la Cemac ont été presque dépensés, sans qu'un avion de la compagnie n’ait volé. Après la réunion du conseil d'administration de la compagnie, le 7 mars 2013 à Brazzaville, le premier vol a été annoncé pour avant la fin de l'année 2013.
Le siège de la compagnie AIr Cemac a été fixé à Brazzaville et inauguré le 7 mars 2013. Les responsables de la compagnie ont lancé des pourparles avec Air France en 2012 après l'echec des négociations engagées avec Royal Air Maroc, Sn Brussels et South Africa Airways.
Toutefois, ces dernières ont du mal à aboutir du fait de deux points de blocage. D’abord Air France demande que la compagnie Air Cemac dispose du monopole du trafic régional, dans les six pays membres de la Cemac et que les compagnies nationales ne puissent assurer que les liaisons internes à chaque État. Ensuite, la compagnie aérienne française demande un tiers du capital d'Air Cemac, afin de disposer d'une minorité de blocage qui la prémunirait contre toute décision stratégique pouvant compromettre l'avenir de la société.
Le capital initial (10 milliards de FCFA) apporté par les États membres de la Cemac ont été presque dépensés, sans qu'un avion de la compagnie n’ait volé. Après la réunion du conseil d'administration de la compagnie, le 7 mars 2013 à Brazzaville, le premier vol a été annoncé pour avant la fin de l'année 2013.
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