Depuis le mois de septembre, Malichaud Atlantique, possède une petite unité à Casablanca au Maroc. Une dizaine de personnes y sont actuellement formées à la soudure et à des travaux manuels pour usiner les pièces. D'ici un an, la structure marocaine pourrait compter une trentaine de salariés.
Le président de Malichaud Atlantique ajoute que l'usine rochefortaise est une entreprise qui se porte très bien. Mais la croissance ne se fera pas au son site de Rochefort en France: l'entreprise n'aurait d'abord pas les moyens de s'agrandir. Jean-Marc Girard ne souhaite pas non plus augmenter les effectifs d'une usine qui emploie déjà 200 salariés (contre 70 en 2003) et une cinquantaine d'intérimaires en fonction des fluctuations.
« Nous sommes contraints et forcés de réduire nos coûts de production. Le but du jeu est de sous-traiter des opérations à la société créée au Maroc. Je souhaite destiner le site de Rochefort à des pièces plus nobles, plus complexes, plus techniques », poursuit-il.
« Le Maroc, c'est pour absorber la croissance. Je ne lance pas aujourd'hui une société à Casablanca pour délocaliser Malichaud dans quatre ans. Si c'était le cas, je le dirai ! Il y a du business, il y a encore de belles années à venir dans l'aéronautique. C'est une bonne nouvelle non ? », lance-t-il.
Fondée en 1990, Malichaud Atlantique implantée à Rochefort est spécialisée dans la fabrication d'aubes de turbines et de compresseurs dans les secteurs de l'aéronautique et de la turbine industrielle et s'est engagée dans une démarche d'amélioration continue selon l'ISO 9001.
« Ma stratégie est de ne pas me développer à Rochefort. La croissance, je la fais ailleurs. Il y a un intérêt colossal à produire au Maroc, y compris pour le site de Rochefort »
, a annoncé Jean-Marc Girard, le président de Malichaud Atlantique, à Sud Ouest. Le président de Malichaud Atlantique ajoute que l'usine rochefortaise est une entreprise qui se porte très bien. Mais la croissance ne se fera pas au son site de Rochefort en France: l'entreprise n'aurait d'abord pas les moyens de s'agrandir. Jean-Marc Girard ne souhaite pas non plus augmenter les effectifs d'une usine qui emploie déjà 200 salariés (contre 70 en 2003) et une cinquantaine d'intérimaires en fonction des fluctuations.
« Nous sommes contraints et forcés de réduire nos coûts de production. Le but du jeu est de sous-traiter des opérations à la société créée au Maroc. Je souhaite destiner le site de Rochefort à des pièces plus nobles, plus complexes, plus techniques », poursuit-il.
« Le Maroc, c'est pour absorber la croissance. Je ne lance pas aujourd'hui une société à Casablanca pour délocaliser Malichaud dans quatre ans. Si c'était le cas, je le dirai ! Il y a du business, il y a encore de belles années à venir dans l'aéronautique. C'est une bonne nouvelle non ? », lance-t-il.
Fondée en 1990, Malichaud Atlantique implantée à Rochefort est spécialisée dans la fabrication d'aubes de turbines et de compresseurs dans les secteurs de l'aéronautique et de la turbine industrielle et s'est engagée dans une démarche d'amélioration continue selon l'ISO 9001.