Emirates a gagné la course. La compagnie de Dubaï sera la première au monde à offrir à ses passagers la possibilité d'utiliser leur téléphone portable en vol, coiffant Air France et Qantas au poteau. La société britannique AeroMobile a annoncé le 8 novembre que le système serait lancé dès janvier 2007 sur les Boeing B777 de la compagnie.
Le système développé par AeroMobile s'apparente à celui de OnAir, le joint-venture formé par Airbus et SITA. Installé dans un appareil, il permet de contrôler l'intensité des émissions des téléphones mobiles en la maintenant à son minimum. Ainsi, les instruments de navigation ne sont pas perturbés.
AeroMobile limitera à cinq le nombre de communications passées simultanément dans l'appareil, comme c'est déjà le cas aujourd'hui avec les téléphones intégrés aux sièges. Pour être reliés au sol, les appels passeront par le système de communication par satellite Inmarsat, déjà installé dans tous les appareils d'Emirates.
L'équipage aura à tout moment le contrôle du dispositif. Il pourra ainsi limiter l'accès à certains services si les circonstances l'exigent. Ainsi, lors d'un vol de nuit, les fonctions d'appel pourront être désactivées.
AeroMobile sera dans un premier temps limité à l'émission d'appels et de SMS. Ceux-ci seront facturés à des tarifs comparables à ceux des appels internationaux. Des systèmes pouvant être reliés à Internet ou au réseau GPRS devraient être intégrés au système de base plus tard dans l'année 2007. Le voyageur pourra alors également utiliser son Blackberry, Palm ou autre PDA, envoyer des emails ou surfer sur Internet depuis son ordinateur portable.
AeroMobile est issu de l'union des sociétés américaine et norvégienne ARINC et Telenor. Basée à Crawley, au Royaume-Uni, elle également été choisie par la compagnie australienne Qantas. Avec elle, Emirates se lance résolument dans l'aventure des communications en vol. Air France et Qantas au contraire comptaient y aller prudemment et tester le système sur un appareil pendant quelques mois, respectivement un Airbus A318 et un Boeing B767, avant de l'étendre dans leur flotte.
Le système développé par AeroMobile s'apparente à celui de OnAir, le joint-venture formé par Airbus et SITA. Installé dans un appareil, il permet de contrôler l'intensité des émissions des téléphones mobiles en la maintenant à son minimum. Ainsi, les instruments de navigation ne sont pas perturbés.
AeroMobile limitera à cinq le nombre de communications passées simultanément dans l'appareil, comme c'est déjà le cas aujourd'hui avec les téléphones intégrés aux sièges. Pour être reliés au sol, les appels passeront par le système de communication par satellite Inmarsat, déjà installé dans tous les appareils d'Emirates.
L'équipage aura à tout moment le contrôle du dispositif. Il pourra ainsi limiter l'accès à certains services si les circonstances l'exigent. Ainsi, lors d'un vol de nuit, les fonctions d'appel pourront être désactivées.
AeroMobile sera dans un premier temps limité à l'émission d'appels et de SMS. Ceux-ci seront facturés à des tarifs comparables à ceux des appels internationaux. Des systèmes pouvant être reliés à Internet ou au réseau GPRS devraient être intégrés au système de base plus tard dans l'année 2007. Le voyageur pourra alors également utiliser son Blackberry, Palm ou autre PDA, envoyer des emails ou surfer sur Internet depuis son ordinateur portable.
AeroMobile est issu de l'union des sociétés américaine et norvégienne ARINC et Telenor. Basée à Crawley, au Royaume-Uni, elle également été choisie par la compagnie australienne Qantas. Avec elle, Emirates se lance résolument dans l'aventure des communications en vol. Air France et Qantas au contraire comptaient y aller prudemment et tester le système sur un appareil pendant quelques mois, respectivement un Airbus A318 et un Boeing B767, avant de l'étendre dans leur flotte.