Philippe Baptiste, Président-directeur général du CNES, s’est rendu au Maroc dans le cadre de la coopération spatiale franco-marocaine.
A cette occasion, il a notamment rencontré Abdellatif Loudiyi, ministre chargé de l’Administration de la Défense Nationale, Driss El Hadani, Directeur du Centre Royal de Télédétection Spatiale (CRTS), et le Professeur Zakaria Moudden, Directeur du Centre Royal de Recherches et Etudes Spatiales (CRERS), lors de la signature de la Déclaration d’intérêt du Space Climate Observatory (SCO). Cette dernière officialise la participation du Maroc à l’initiative et en fait le 33ème signataire.
Ce nouvel axe de coopération entre les deux pays s’inscrit dans le prolongement des activités franco-marocaines initiées sur la base de l’accord-cadre tripartite CRTS-CRERS-CNES, signé en 2015. Les domaines de l’observation de la Terre et de la lutte contre le changement climatique y sont mentionnés.
L’adhésion du Maroc au SCO intervient à un moment où les questions de l’adaptation et de la lutte contre le changement climatique sont devenues des priorités pour nos sociétés et gouvernements. L’utilisation des données spatiales, pour mieux comprendre les phénomènes environnementaux, permet d’agir pour anticiper les effets des risques climatiques en temps opportun et de façon informée. Le SCO, par les projets qu’il fait émerger et qu’il met au service des décideurs publics, représente un outil opérationnel pour mettre en œuvre les engagements pris dans le cadre de l’Accord de Paris.
Le projet d’irrigation IRRISAT, soumis par le Maroc et ses partenaires, a été l’un des trois premiers projets à recevoir le label SCO international. Au Maroc, la maîtrise de l’eau revêt un caractère urgent et la planification de la gestion des ressources est rendue difficile par les événements extrêmes de sécheresse et d’inondations. IRRISAT mobilise les techniques d’observation de la Terre et l’innovation pour fournir aux gestionnaires locaux de l’irrigation et aux agriculteurs un système d’aide à la prise de décision, ce qui est en complète adéquation avec les principes et objectifs du SCO. Le Maroc participe également de façon active aux travaux d’élaboration de la future Charte internationale du SCO qui doit être présentée à la COP26 de Glasgow.
Durant cette rencontre, Philippe Baptiste a souhaité la bienvenue au Maroc au sein du SCO et exprimé sa reconnaissance pour cette décision de continuer à contribuer, par l’expertise de ses institutions nationales et communautés scientifiques, à l’effort commun pour trouver des solutions innovantes au suivi et à l’adaptation au changement climatique.
A cette occasion, il a notamment rencontré Abdellatif Loudiyi, ministre chargé de l’Administration de la Défense Nationale, Driss El Hadani, Directeur du Centre Royal de Télédétection Spatiale (CRTS), et le Professeur Zakaria Moudden, Directeur du Centre Royal de Recherches et Etudes Spatiales (CRERS), lors de la signature de la Déclaration d’intérêt du Space Climate Observatory (SCO). Cette dernière officialise la participation du Maroc à l’initiative et en fait le 33ème signataire.
Ce nouvel axe de coopération entre les deux pays s’inscrit dans le prolongement des activités franco-marocaines initiées sur la base de l’accord-cadre tripartite CRTS-CRERS-CNES, signé en 2015. Les domaines de l’observation de la Terre et de la lutte contre le changement climatique y sont mentionnés.
L’adhésion du Maroc au SCO intervient à un moment où les questions de l’adaptation et de la lutte contre le changement climatique sont devenues des priorités pour nos sociétés et gouvernements. L’utilisation des données spatiales, pour mieux comprendre les phénomènes environnementaux, permet d’agir pour anticiper les effets des risques climatiques en temps opportun et de façon informée. Le SCO, par les projets qu’il fait émerger et qu’il met au service des décideurs publics, représente un outil opérationnel pour mettre en œuvre les engagements pris dans le cadre de l’Accord de Paris.
Le projet d’irrigation IRRISAT, soumis par le Maroc et ses partenaires, a été l’un des trois premiers projets à recevoir le label SCO international. Au Maroc, la maîtrise de l’eau revêt un caractère urgent et la planification de la gestion des ressources est rendue difficile par les événements extrêmes de sécheresse et d’inondations. IRRISAT mobilise les techniques d’observation de la Terre et l’innovation pour fournir aux gestionnaires locaux de l’irrigation et aux agriculteurs un système d’aide à la prise de décision, ce qui est en complète adéquation avec les principes et objectifs du SCO. Le Maroc participe également de façon active aux travaux d’élaboration de la future Charte internationale du SCO qui doit être présentée à la COP26 de Glasgow.
Durant cette rencontre, Philippe Baptiste a souhaité la bienvenue au Maroc au sein du SCO et exprimé sa reconnaissance pour cette décision de continuer à contribuer, par l’expertise de ses institutions nationales et communautés scientifiques, à l’effort commun pour trouver des solutions innovantes au suivi et à l’adaptation au changement climatique.