Outre les drones canadiens Aeryon Scout utilisés par les rebelles libyens pour les aider à savoir où tirer pendant qu'ils encerclent le fief natal de Kadhafi, L'Otan a recours au drone Harfang qui décolle de la base aérienne de Sigonella, en Sicile, d’où il est commandé par liaison satellite.
Le premier vol opérationnel du drone Harfang a été effectué le 24 août 2011 au dessus de la Libye. « Les drones sont désormais également utilisés en Libye afin de pallier l’absence d’hommes au sol pour guider les tirs et surtout pour donner des renseignements fiables et en temps réel à nos décideurs afin de conduire l’action de manière plus interactive » déclare le lieutenant colonel Sébastien Mazoyer commandant de l’escadron de drones 1/33 Belfort. Ce dernier revient d’Afghanistan où il a supervisé l’utilisation de deux drones Harfang déployés par l’armée française depuis deux ans et demi.
« En l’air plus de 15 heures par jour, il remplit une mission de surveillance discrète et de longue durée depuis la Sicile. Il est doté de capteurs vidéos et radars, fonctionnant de jour comme de nuit, qui permettent de mieux comprendre certaines situations complexes. Son contrôle via une liaison satellite permet également à tous ceux qui ont besoin de ces renseignements de visionner en direct les vidéos produites par le drone, pour réorienter de manière réactive l’action aérienne ou pour tout simplement s’assurer que nos actions restent conformes avec la résolution de l’ONU Les missions sont bien sûr programmées à l’avance, en coordination avec les autres moyens aériens, mais à tout moment le commandement peut réorienter la mission vers une zone devenue prioritaire en fonction de l’évolution de la situation. » déclare le lieutenant colonel Mazoyer.
Le drone Harfang a rejoint les 5 Rafale de l’armée de l’air équipés de pods de reconnaissance nouvelle génération, système de reconnaissance numérique.
Le premier vol opérationnel du drone Harfang a été effectué le 24 août 2011 au dessus de la Libye. « Les drones sont désormais également utilisés en Libye afin de pallier l’absence d’hommes au sol pour guider les tirs et surtout pour donner des renseignements fiables et en temps réel à nos décideurs afin de conduire l’action de manière plus interactive » déclare le lieutenant colonel Sébastien Mazoyer commandant de l’escadron de drones 1/33 Belfort. Ce dernier revient d’Afghanistan où il a supervisé l’utilisation de deux drones Harfang déployés par l’armée française depuis deux ans et demi.
« En l’air plus de 15 heures par jour, il remplit une mission de surveillance discrète et de longue durée depuis la Sicile. Il est doté de capteurs vidéos et radars, fonctionnant de jour comme de nuit, qui permettent de mieux comprendre certaines situations complexes. Son contrôle via une liaison satellite permet également à tous ceux qui ont besoin de ces renseignements de visionner en direct les vidéos produites par le drone, pour réorienter de manière réactive l’action aérienne ou pour tout simplement s’assurer que nos actions restent conformes avec la résolution de l’ONU Les missions sont bien sûr programmées à l’avance, en coordination avec les autres moyens aériens, mais à tout moment le commandement peut réorienter la mission vers une zone devenue prioritaire en fonction de l’évolution de la situation. » déclare le lieutenant colonel Mazoyer.
Le drone Harfang a rejoint les 5 Rafale de l’armée de l’air équipés de pods de reconnaissance nouvelle génération, système de reconnaissance numérique.