L’IATA note dans son rapport un taux d’accidents qui passe de 1,58 en 2020 à 1,01 en 2021. En ajoutant qu’aucune compagnie aérienne inscrite à l’IOSA (IATA Operational Safety Audit) soit 403 compagnies aériennes (115 non-membres de l’IATA) n’a connu d’accident mortel l’année dernière.
Les compagnies aériennes basées en Afrique subsaharienne ont connu quatre accidents en 2021, tous avec des avions à turbopropulseurs, dont trois ont fait 18 morts. Aucun des opérateurs ne figurait sur le registre IOSA. Il n'y a eu aucun accident de perte de coque de jet en 2021 ou 2020.
Alors que dans le monde les turbopropulseurs ne représentent que 10,99 % du total, les accidents impliquant des avions à turbopropulseurs représentent 50 % de tous les accidents, 86 % des accidents mortels et 49 % des décès en 2021. Willie Walsh, directeur général de l'IATA, a déclaré que "L'exploitation des turbopropulseurs sera un domaine prioritaire pour identifier les voies et moyens de réduire le nombre d'incidents liés à certains types d'avions".
En ce qui concerne l'Afrique, l'IATA recommande de mettre la priorité sur la mise en œuvre des normes et pratiques recommandées (SARPS : Standards And Recommended Practices) de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI).
À la fin de l'année 2021, quelque 28 pays africains (61 % du total) avaient une mise en œuvre des SARP de 60 % ou plus. En outre, une approche multipartite ciblée sur des États spécifiques sera importante pour faire face aux événements répétés.
Les compagnies aériennes basées en Afrique subsaharienne ont connu quatre accidents en 2021, tous avec des avions à turbopropulseurs, dont trois ont fait 18 morts. Aucun des opérateurs ne figurait sur le registre IOSA. Il n'y a eu aucun accident de perte de coque de jet en 2021 ou 2020.
Alors que dans le monde les turbopropulseurs ne représentent que 10,99 % du total, les accidents impliquant des avions à turbopropulseurs représentent 50 % de tous les accidents, 86 % des accidents mortels et 49 % des décès en 2021. Willie Walsh, directeur général de l'IATA, a déclaré que "L'exploitation des turbopropulseurs sera un domaine prioritaire pour identifier les voies et moyens de réduire le nombre d'incidents liés à certains types d'avions".
En ce qui concerne l'Afrique, l'IATA recommande de mettre la priorité sur la mise en œuvre des normes et pratiques recommandées (SARPS : Standards And Recommended Practices) de l'Organisation de l'aviation civile internationale (OACI).
À la fin de l'année 2021, quelque 28 pays africains (61 % du total) avaient une mise en œuvre des SARP de 60 % ou plus. En outre, une approche multipartite ciblée sur des États spécifiques sera importante pour faire face aux événements répétés.